, Comment les étranges croyances chrétiennes sur la sexualité façonnent le monde
 afin de prier la Vierge Marie.

Comment les étranges croyances chrétiennes sur la sexualité façonnent le monde afin de prier la Vierge Marie.

Comment les étranges croyances chrétiennes sur la sexualité façonnent le

Les premiers chrétiens se demandaient comment la Vierge Marie pouvait rester vierge tout en étant imprégnée du Saint-Esprit, ce qui a donné lieu à des théories farfelues sur l’entrée divine par ses yeux ou ses oreilles. Dans son nouveau livre, l’historien Diarmaid MacCulloch explore l’évolution des attitudes chrétiennes à l’égard du sexe et du genre, révélant une mosaïque de croyances plutôt qu’une doctrine unique. Alors que les débats sur l’éthique sexuelle influencent la politique mondiale, il devient crucial de comprendre ces complexités.

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Malgré leur ancrage fragile dans les Écritures ___PAYWALL_STABLE___

Le problème était le vagin de la Vierge Marie. Les premiers chrétiens étaient très clairs sur certains points. Ils savaient que le Saint-Esprit avait rendu la Vierge Marie enceinte, mais qu’elle était toujours vierge. Ce dont ils n’étaient pas sûrs, c’était comment ces deux affirmations pouvaient être vraies. En bref, comment Dieu était-il entré ?

Les théologiens se sont attachés à résoudre cette énigme au prix de grands débats, et d’un mépris salutaire pour la biologie. Presque aucun orifice n’était interdit. Dieu était entré par les yeux de Marie, a suggéré un texte. Un autre érudit pensait qu’il était entré par l’oreille. Un troisième a suggéré qu’il avait fécondé Marie par le nez, ce qui était inventif, même s’il était difficile d’imaginer qu’il soit intégré dans la crèche annuelle de l’école.

Dieu est étrange en matière de sexualité. La Bible et les écrits chrétiens le sont encore plus. Si toutes ces bizarreries ne concernaient que les croyants, elles seraient suffisamment importantes. Avec plus de 2 milliards d’adeptes, le christianisme est la plus grande religion du monde et, même si cela ne semble pas toujours être le cas dans un Occident sécularisé, il continue de se développer dans de nombreuses régions.

Mais les blocages sexuels du christianisme – du célibat à la contraception, en passant par l’homosexualité et bien d’autres choses – ont des conséquences pour bien plus que les fidèles. Aux États-Unis, les luttes autour de l’avortement pourraient faire pencher la balance dans les élections. En Russie, Vladimir Poutine a signé une loi contre les « relations sexuelles non traditionnelles ». En Grande-Bretagne, une lutte autour de l’avortement se prépare. C’est le moment idéal pour essayer de comprendre le sexe et le christianisme.

Les chrétiens modernes se tournent souvent vers la Bible pour trouver des réponses claires aux questions sexuelles. Mais il est impossible d’y trouver des réponses claires, affirme un nouveau livre concis sur le sexe et le christianisme. Son auteur, Diarmaid MacCulloch, est un universitaire d’Oxford dont les gros livres sur le christianisme font presque toujours sensation, lui valant des prix et des séries télévisées.

Le problème est que la Bible, qui comprend une soixantaine de livres rédigés sur une période d’un millénaire et plus, est moins un livre qu’une bibliothèque – et présente une gamme tout aussi large d’attitudes sexuelles. Ses pages regorgent de mariages monogames, de mariages polygames, de viols, de poésie sexuelle osée, de fulminations contre l’homosexualité et de descriptions tendres de la passion d’un homme pour son amant. Il n’existe pas, écrit M. MacCulloch, « de théologie chrétienne unique du sexe ».

Cela n’a pas empêché les chrétiens de prétendre qu’il existe une telle pratique ou de s’en prendre à ceux qu’ils considèrent comme des transgresseurs. De ceux qui ont brûlé les « sodomites » sur le bûcher au XIIe siècle à ceux qui fustigent aujourd’hui les « déviants » sur les réseaux sociaux, les chrétiens ont l’habitude de s’énerver à ce sujet. Alors qu’autrefois ils se disputaient à propos de la transsubstantiation, ils sont désormais bien plus susceptibles de se disputer à propos des questions trans, observe M. MacCulloch.

Il a raison : la Communion anglicane, troisième plus grande communauté chrétienne après l’Église catholique romaine et l’Église orthodoxe orientale, est depuis des années menacée de schisme. Ses membres se disputent pour savoir s’il faut ou non autoriser les mariages homosexuels dans les églises. Si l’on ajoute à cela l’horreur suscitée par l’ampleur des abus sexuels commis par les prêtres catholiques sur les enfants, ainsi que les débats sur la contraception, l’avortement et l’ordination des femmes, on comprend pourquoi M. MacCulloch écrit que le sexe et le genre suscitent actuellement plus de débats au sein de l’Église qu’« à n’importe quel moment au cours des deux derniers millénaires de la vie chrétienne ».

Toute religion est un produit du hasard, tout comme la doctrine elle-même. Les obsessions sexuelles du christianisme ne sont pas différentes. Une grande partie de ce que les gens « savent » du christianisme est, pour le dire gentiment, difficile à trouver dans la Bible. Il n’y avait par exemple pas de pomme dans l’Éden (elle serait née d’un jeu de mots d’un traducteur : les mots pour « pomme » et « mal » sont presque identiques en latin). Lieu de torture ardent, l’enfer est également presque totalement absent des pages du Nouveau Testament. Alors que le mot « quotidien » dans la prière du Seigneur – souvent la seule prière chrétienne que beaucoup connaissent – ​​est une pure foutaise. (Personne n’a la moindre idée de ce que signifie réellement le mot grec qui apparaît avant le mot « pain »).

Les chrétiens ont beau avoir parlé de sexe, de célibat et d’homosexualité pendant des siècles, Jésus n’a pas vraiment eu grand-chose à dire à ce sujet. S’il condamnait avec véhémence les cupides, il n’avait absolument rien à dire sur les homosexuels. Pourtant, comme l’a fait remarquer avec brio un théologien moderne, « aucun État médiéval ne brûlait les cupides sur le bûcher ». De même, on ne trouve guère de « valeurs familiales » chrétiennes dans la vie de cet homme qui était grossier avec sa mère et qui ne s’est jamais marié.

L’étrangeté du christianisme en matière de sexualité et de famille peut être attribuée, en partie, au début étrange de la vie du Christ. Le ménage à trois Marie-Joseph-Dieu était assez inhabituel pour Marie – et n’était pas non plus très amusant pour Joseph. Pendant tout ce qui se passait entre sa fiancée et Dieu, saint Joseph devait rester à l’écart – parfois optimiste, parfois agacé, finalement sanctifié. Rarement un homme a mérité autant sa sainteté. Il y avait, comme le dit M. MacCulloch, « trois personnes dans ce mariage, donc c’était un peu trop théologiquement ».

Pour comprendre d’où viennent les divers blocages sexuels des chrétiens, M. MacCulloch fait un rapide tour d’horizon des héros et des méchants de deux millénaires de théologie chrétienne, de saint Paul (dont les épîtres en colère ont inspiré des siècles d’homophobie), en passant par saint Jérôme (qui a défendu le célibat), jusqu’à saint Augustin (qui, après avoir baisé dans les geôles de Carthage, a ensuite contribué à gâcher les 16 siècles suivants de chrétiens avec sa doctrine du péché originel). Les choses s’éclaircissent enfin un peu avec l’érudit humaniste Érasme, qui a publié en 1518 un pamphlet défendant les plaisirs du mariage, dédié à un mécène au nom improbable mais incorrigible de « Lord Mountjoy ».

Ce livre contient d’autres informations tout aussi intéressantes. Il est intéressant d’apprendre, par exemple, que le mot « sodomie » est une déformation du mot « bulgare », car les chrétiens médiévaux en accusaient des hérétiques qui étaient censés venir de Bulgarie. Mais une grande partie de ce livre est trop lourde. La grande force de M. MacCulloch est qu’il en sait énormément. Sa grande faiblesse est d’avoir tout écrit, sur 497 pages, dans une police minuscule. Il y en a sans doute qui seront ravis de découvrir qu’en 451 après J.-C., lors du concile de Chalcédoine, l’Église non chalcédonienne « a fièrement adhéré à la théologie « dyophysite » du patriarche de Constantinople démis de ses fonctions Nestorios ». Beaucoup d’autres resteront perplexes.

Est-ce important que beaucoup achètent le livre de M. MacCulloch, mais ne le finissent pas ? Les attitudes chrétiennes à l’égard du sexe sont si importantes dans la politique mondiale actuelle. Mais il semble erroné de prendre cette étrangeté à l’égard du sexe à la légère. Pourquoi les conservateurs américains écrasent-ils actuellement les droits reproductifs des femmes ? Pourquoi l’Église orthodoxe russe fustige-t-elle l’homosexualité ? Les écrits de saint Augustin et de saint Paul offrent une réponse. Mais peut-être une réponse plus simple est-elle fournie par le vieil adage selon lequel tout dans le monde est une question de sexe, sauf le sexe, qui est une question de pouvoir. L’Église chrétienne, qui a été décrite comme la force de persécution la plus puissante que le monde ait jamais connue, le sait bien.

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L’Importance de la Prière à Marie

La prière à Marie constitue un aspect essentiel de la spiritualité chrétienne, profondément ancrée dans les enseignements catholique depuis des siècles. C’est un roc sur lequel les croyants s’appuient pour trouver réconfort, direction et intercession dans leur marche envers Dieu. À travers les âges, cette piété a gagné en force par les enseignements de la Bible, les coutumes ecclésiastiques, et les exemples des saints qui ont honoré Marie en tant que aimante.

La pratique du Ave Maria

Le Chapelet tient une position centrale dans la vie spirituelle de un grand nombre de fidèles. En récitant les mystères joyeux, douloureux, lumineux et glorieux, les fidèles méditent dans les moments liés à Jésus et Marie, renforçant leur lien spirituel avec eux. Chaque Ave Maria récité, ils manifestent leur foi en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, invite les fidèles à méditer régulièrement des différents mystères du rosaire afin de renforcer leur lien avec la Mère de Dieu. Cet antique rituel, transmise de génération en génération, demeure une source d’illumination spirituelle pour les croyants, les guidant dans leur connexion à la divine Dame du Ciel.

L’appel à la prière

Unissons-nous dans la prière, frères et sœurs, dans notre foi, en nous tournant vers Marie, la mère de Jésus. Au sein de notre monde troublé par la guerre et la discorde, recourons à la prière pour trouver pour retrouver la paix et l’harmonie. Vous aussi vous pouvez écrire une demande pour Marie sur la page de prière pour marie. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable par Dieu, pour qu’il puisse nous guider nos chemins sur la voie de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, en toutes circonstances, afin que notre connexion à Dieu soit constante et passionnée. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a le pouvoir pour transformer nos cœurs et d’influer le destin de l’histoire.

Les leçons du Pape François

Le pape François, dans ses enseignements éclairés, publiés par Bayard, nous rappelle l’importance de la prière quotidienne. À travers ses discours et ses audiences, il nous encourage à développer un lien personnel avec le divin, en se fondant sur la réflexion sur les Saintes Écritures ainsi que la récitation du rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous inspire à approfondir encore notre prière et à rechercher la présence de Dieu dans tous les domaines de notre quotidien. Le pape Jean-Paul II, dans son encyclique sur la foi chrétienne, nous rappelle que la prière est la base de la vie spirituelle et c’est par elle que nous sommes unis à la volonté divine. La prière quotidienne, transmise par les pontifes successifs, est une source d’espoir en période de tempête, un fondement solide auquel nous pouvons nous appuyer.

Les ouvrages de Lelièvre et Hubert

Dans le contexte de la vie de foi, l’église recommande vivement la prière, et lors de la prière, les fidèles accomplissent le geste du signe de la croix et récitent l’Ave Maria. Des penseurs contemporains, tels que Lelièvre et Hubert, nous incitent aussi à méditer sur la puissance de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs écrits, riches en enseignements spirituels, nous guident sur le chemin de la foi et nous invitent à trouver dans les trésors de la tradition chrétienne pour enrichir notre vie spirituelle. En méditant sur leurs ouvrages, nous explorons de nouvelles manières d’approfondir notre connexion avec le divin et de grandir dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans l’Évangile, nous enseigne que la prière est un puissant moyen de demeurer en communion avec Dieu et de bénéficier de ses grâces. Chaque page de leurs ouvrages ressemble à une invitation à une prière fervente et à une existence imprégnée de la présence divine. Dans notre exploration de connexion spirituelle, chaque œuvre lue devient une invitation à aspirer à le sacré, à travers la contemplation et la réflexion.

L’acte de prier dans la chapelle

Dans nos lieux de culte simples ou grandioses, orientons-nous vers le divin en toute confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos prières avec amour et sollicitude. Que chaque bougie allumée, chaque chapelet récité, constitue une offrande à notre divin Créateur et à sa sainte mère, Marie. Que nos instants de dévotion dans la chapelle soient des moments de bénédiction et de renouvellement spirituel, nous renforçant pour affronter les défis avec audace et foi inébranlable. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous démontre l’importance de la prière dans l’existence des catholiques et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque page de la Bible lue dans ce lieu sacré, est une rencontre avec le divin, une étape dans le processus de transformation spirituelle. À travers les pages des Saintes Écritures, tout disciple est invité à contempler la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans sa grâce rédemptrice.

L’acte de prier comme médecine pour l’âme

Comme un guérisseur pour nos esprits, l’acte de prier nous guérit ainsi que nous renforce au cours des périodes de douleur et de désespoir. La prière nous fait souvenir que Dieu est toujours avec nous, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous tournant vers lui dans la prière, nous découvrons la force intérieure dont nous avons besoin pour traverser les épreuves et pour affronter l’avenir avec espoir et confiance. La prière est comme une rivière vivifiante qui satisfait notre soif spirituelle et qui, au cours de notre marche avec Dieu, nous régénère.
À chaque prière murmurée, à chaque intention portée, nous trouvons un réconfort céleste, une guérison spirituelle, qui va au-delà de les limites de la condition humaine. Chaque page de la Bible nous invite à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à accueillir sa grâce transformatrice.

Un point de vue alternatif sur l’acte de prier Marie

L’invocation de Marie est une pratique solidement ancrée dans la tradition religieuse catholique chrétienne, offrant un lien spirituel précieux pour les adeptes de tous horizons. Comme mère spirituelle et intercesseur, elle est invoquée avec dévotion lors des instants de nécessité et de reconnaissance. Le rosaire, avec ses mystères contemplatifs, dirige les fidèles dans leur voyage de foi, les aidant à méditer sur Jésus, son fils, à travers le prisme de la Vierge Marie. Cette affection envers Marie se manifeste dans les lieux saints tel que le sanctuaire de Lourdes, où les pèlerins affluent pour rechercher réconfort et guérison, représentant la forte connexion entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les enseignements éclairants de théologiens comme Lelièvre et Hubert proposent une réflexion précieuse sur la valeur de la prière à Marie et son rôle dans la vie spirituelle des croyants. À travers la lecture attentive de livres dévotionnels et bibliques, les fidèles élargissent leur compréhension de l’adoration de Marie et cultivent une connexion plus étroite avec la Vierge Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde où prédominent les conflits et les troubles, la dévotion à Marie est un sanctuaire de tranquillité et d’espoir, appelant chaque personne, quelle que soit sa position dans la foi catholique, à solliciter la Sainte Vierge avec une foi profonde et une dévotion sincère. Prions donc ensemble, avec un cœur sincère et humble, en reconnaissant Marie comme notre mère et notre intercesseur, en lui confiant nos vœux et nos aspirations les plus profondes. Dans cette quête spirituelle, tout adepte est convié à poursuivre la voie des prières et des aspirations du cœur, guidé par le saint Père et les ressources spirituelles précieuses disponibles sur des plateformes comme Aleteia. Par conséquent, avec un cœur ouvert et une humble confiance, adressons notre prière quotidienne à Marie, lui demandant son intercession affectueuse, ainsi que la grâce de persévérer dans la prière ardente.
Que notre dialogue avec le sacré soit notre refuge et notre consolation quelle que soit la situation. Que nous nous inclinions vers Marie, notre mère céleste, avec un cœur ouvert et une foi inébranlable, sachant qu’elle intercède pour nous auprès de son fils bien-aimé. Que notre dialogue avec le divin nous mène vers la voie de la sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour infini.

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Pygmalion (Ménard).,Cliquer ICI.

Les trois cocus/Chapitre XXIX.,L’article de presse.. Suite sur le prochain article.

Les Feuilles d’automne/La Prière pour tous.,A lire ici.

Le Rossignol(Balaguer).,A lire ici.

La Bible d’une grand’mère/219.,Cliquer ICI.

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 afin de prier la Vierge Marie.avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.