Aujourd’hui, Jésus offre un repas miraculeux à la foule qui le suit, un événement qui nous renvoie à l’histoire et à l’avenir. Comment ?
Évangile (Lire Jn 6, 1-15)
Saint Jean nous dit que près de la mer de Galilée, une grande foule suivait Jésus, après avoir été témoin de ses miracles de guérison. Bien que lui et ses disciples « montèrent sur la montagne », la foule les poursuivit. Saint Jean insère ensuite un détail qui semble étranger au récit : « La fête juive de la Pâque était proche. » L’action ici n’a rien à voir avec la Pâque – ou en a-t-elle un ? Pourquoi saint Jean la place-t-il dans le contexte de la Pâque ? La seule relation possible entre cette histoire de gens qui mangent et la Pâque est que les deux histoires comportent un repas. Saint Jean veut sûrement que nous fassions ce lien, en le gardant à l’esprit au fur et à mesure que l’histoire se déroule.
Alors que la foule s’approche, Jésus demande à Philippe : « Où pouvons-nous acheter assez de nourriture pour qu’ils puissent manger ? » L’histoire devient alors vraiment intéressante car saint Jean nous dit que la question est un test. Quelle réponse Jésus cherchait-il ? S’attendait-il à ce que Philippe sache qu’il allait nourrir miraculeusement la foule ? Dans l’autre miracle public (le premier) que Jésus a accompli avec de la nourriture, sa mère, Marie, avait compris qu’il fallait s’adresser à Jésus lui-même pour régler le problème du manque de vin (voir Jn 2, 1-11). Jésus s’attendait-il à ce que Philippe suive l’exemple de Marie ?
Philippe ne pense pas à un miracle. Il ne pense même pas à la question posée par Jésus. La question était de savoir « où », mais Philippe pense au « comment ». Son esprit est tourné vers le manque d’argent, pas vers la nourriture. S’il avait pensé au manque de nourriture pour tant de gens, il se serait peut-être souvenu d’un événement fondateur de l’histoire d’Israël. Lorsque Moïse a délivré le peuple de Dieu de l’esclavage en Égypte, ils ont connu des pénuries de nourriture dans le désert. Le remède a été la « manne » de Dieu, du pain qui est tombé du ciel au début de chaque journée pendant quarante ans, gardant les Israélites en vie pendant leur voyage vers la Terre promise.
André, le frère de Simon-Pierre, était un peu plus proche de la vérité. Il ne pensait pas à Moïse et à la manne, mais peut-être à un autre miracle alimentaire de l’histoire d’Israël. Quand André remarqua qu’un garçon avait « cinq pains d’orge et deux poissons », il se rappela peut-être l’histoire du prophète Élisée, qui avait un jour miraculeusement multiplié les pains d’orge pour nourrir une foule (nous y reviendrons dans notre première lecture). Sa question muette (« A quoi bon cela pour tant de monde ? ») suggère qu’il pensait qu’il était au moins possible que Jésus puisse faire ce qu’Élisée avait fait.
Si tel est le cas, André avait raison. Jésus a fait « s’étendre » toute la foule sur l’herbe. C’est un mot important dans l’histoire car il évoque un événement futur qui a également eu lieu à Pâques. Pour le repas pascal, Jésus et ses disciples se sont « étendus » à table (voir Mt 26, 20). En utilisant ce mot deux fois dans cette histoire, saint Jean ne veut pas que nous manquions de sa pertinence pour un autre repas miraculeux : le repas pascal au cours duquel Jésus a institué l’Eucharistie, le pain et le vin venus du ciel, comme nouvelle célébration de la délivrance de son peuple par Dieu. L’agneau pascal commémorait la libération d’Israël de l’esclavage physique. Le pain et le vin eucharistiques commémorent et rendent présente notre délivrance du péché et de la mort. L’Agneau de Dieu est notre nouveau repas pascal.
Tous les affamés furent nourris par la multiplication miraculeuse des pains et des poissons. Jésus transforma l’impossible en réalité. En fait, il y eut même des restes, ce qui représentait une surabondance de la provision de Dieu pour les besoins des hommes. Cela fait écho à la déclaration de l’intendant aux noces de Cana, lorsqu’il goûta le vin miraculeux et reconnut qu’il était de loin supérieur au « bon vin » que l’époux avait servi en premier (voir Jn 2, 10). Quelle riche métaphore de la façon dont Dieu pourvoit à nos besoins : nos « impossibles » deviennent « plus que suffisants » et « le meilleur » !
Le miracle de Jésus a bien sûr impressionné la foule. Ils ont reconnu qu’il était « vraiment le prophète » que Moïse avait promis que Dieu enverrait (voir Deutéronome 18:15-19). Cependant, ce n’était pas le moment pour Jésus d’être fait roi. Il allait, en effet, recevoir une couronne et être annoncé au monde comme « Jésus, roi des Juifs », mais son trône serait la Croix. Pour l’instant, Jésus avait accompli un miracle pour aider ses disciples à mieux comprendre (rappelez-vous que cette histoire commence par un test pour eux) le repas miraculeux qui les attendait. Alors, « il se retira de nouveau sur la montagne, seul ».
Réponse possible : Seigneur Jésus, j’aime cette image de toi nourrissant les gens affamés de la manière la plus étonnante qui soit. Aide-moi à m’en souvenir quand j’aurai faim de ton aide.
Première lecture (Lire 2 Rois 4, 42-44)
Élisée, le disciple et successeur du prophète Élie, vécut au 9ème C’est Élie qui fit descendre le feu du ciel sur le mont Carmel alors qu’il exhortait le peuple d’Israël à abandonner son idolâtrie gratuite et à revenir à son Dieu. Élisée était son plus jeune associé. Quand Élie était sur le point de quitter ce monde, il demanda à Élisée quelle serait sa dernière requête à son égard. Élisée demanda une « double portion » de l’esprit prophétique d’Élie (voir 2 Rois 2:9), et c’est ce qu’il obtint. Il accomplit de nombreux miracles et eut un vaste ministère parmi son peuple.
Dans notre lecture, nous voyons qu’un homme avait apporté à Élisée des pains d’orge « faits des prémices » de sa récolte. Cela aurait été présenté comme une offrande au saint prophète de Dieu. Élisée avait besoin de nourrir la compagnie d’hommes qui étaient avec lui (probablement une école de prophètes), alors il a ordonné que le pain leur soit donné. Le serviteur voit l’impossibilité de nourrir autant de personnes avec si peu. Élisée a insisté et a également prononcé une prophétie de Dieu : « Ils mangeront et il en restera ». C’est exactement ce qui s’est passé.
Dans notre Évangile, il est tout à fait possible qu’André ait eu cette histoire à l’esprit lorsqu’il a parlé à Jésus des pains d’orge et des poissons. Il est intéressant de noter que Jésus lui-même était un prophète plus jeune (de six mois seulement, bien sûr) que son cousin Jean-Baptiste, mais on peut dire qu’il avait une « double part » de l’esprit de Jean-Baptiste, en ce sens que son œuvre était plus grande que celle de Jean. De même, Jésus a dit à ses disciples, alors qu’il était sur le point de les quitter, qu’ils feraient « de plus grandes œuvres » que lui, une fois qu’il serait allé vers le Père (voir Jn 14, 12) et qu’il leur aurait envoyé le Saint-Esprit. Jésus, lors de la dernière Cène, a donné du pain et du vin miraculeux aux Douze ; leurs successeurs nourrissent aujourd’hui le monde entier avec ce repas céleste.
Une double portion, en effet.
Réponse possible : Père, pardonne-moi pour les fois où j’ai douté que tu pouvais répondre aux besoins qui m’accablent.
Psaume (Lire Ps 145:10-11; 15-18)
Le psalmiste nous aide à comprendre que la nourriture physique que Dieu a fournie à son peuple (même lorsqu’elle était fournie de manière surnaturelle) dans l’Ancien Testament n’était que le début de sa provision complète pour eux : « Tu ouvres ta main et tu rassasies à souhait tout être vivant. » La faim de nourriture est l’une de nos pulsions corporelles humaines les plus fondamentales, mais même lorsque nous sommes rassasiés, nous avons « faim » de bien plus que de nourriture : d’amour, de justice, de la proximité de Celui qui nous a créés. Le psalmiste se réjouit de savoir que Dieu prendra soin de nous dans tous ces besoins également.
Jésus, dans notre Évangile, a préparé ses disciples à comprendre qu’un repas allait arriver, qui dépasserait de loin ce qui aurait été « suffisant » pour combler la faim humaine la plus profonde. Dans l’Eucharistie, nous pouvons chanter avec le psalmiste : « La main du Seigneur nous nourrit, il répond à tous nos besoins. »
Réponse possible : Le psaume est lui-même une réponse à nos autres lectures. Relisez-le dans un esprit de prière pour vous l’approprier.
Deuxième lecture (Lire Ep 4, 1-6)
Ces dernières semaines, nos lectures de l’épître nous ont conduits à travers la lettre de saint Paul aux Éphésiens. Les passages choisis, destinés à nous aider à nous familiariser avec cette épître très importante, ne semblent pas toujours immédiatement liés à nos autres lectures. En général, lorsque cela se produit, il est utile de se demander : « L’épître est-elle en quelque sorte un exemple pratique de notre thème évangélique ? »
Aujourd’hui, nos lectures nous ont aidés à réfléchir à la manière dont Dieu nourrit son peuple avec la nourriture surnaturelle, le Corps et le Sang de Jésus. Saint Paul nous demande maintenant, connaissant le don que Dieu nous a fait dans l’Eucharistie, de « vivre d’une manière digne de l’appel » que nous avons reçu. Il nous explique, de manière pratique, le genre de vie que nous devrions rechercher lorsque nous nous nourrissons du Pain du Ciel.
On peut résumer cela en un mot : l’unité. Il s’agit bien sûr d’une soif humaine aussi profonde que tout ce que nous ressentons pour la nourriture. Étant à l’image et à la ressemblance de Dieu, nous sommes programmés pour le genre d’unité qui unit la Trinité dans l’amour. Saint Paul nous exhorte à nous en souvenir et à vivre en conséquence. Il veut que nous « nous efforcions de conserver l’unité de l’Esprit par le lien de la paix » – dans nos familles, dans l’Église, dans le monde. Lorsque nous le faisons, notre soif profonde d’unité est satisfaite, rassasiée dans la réalité d’un « seul Dieu et Père de tous, qui est au-dessus de tous, par tous et en tous ».
Réponse possible : Père, ta nourriture est destinée à me nourrir pour la sainteté. À cette fin, aide-moi à être aujourd’hui un artisan de paix, toujours en quête d’unité.
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Élever nos propres prières pour nos familles au Seigneur au lever du jour.
Cette finale étape de la prière du matin consiste à prier pour nos familles êtres chers, l’ensemble de notre famille, nos collègues et notre propre communauté. Nous pouvons prier pour leur propre, leur santé, leur tranquillité, et leur prospérité. Nous pouvons également prier pour nos détracteurs et pour ceux qui nous ont blessés, et demander à Dieu de nous aider à leur pardonner et à leur montrer la compassion.
Prier pour la bien-être et la tranquillité de nos êtres chers.
Dieu tout-puissant, nous tous te confions nos amis, nos propres familles ainsi que nos connaissances. Veille, cher Dieu, au-dessus de eux, avec protège -les de tout risque et de toute maladie. Donne, Seigneur, la vigueur du corps et de l’esprit pour eux, et la paix dans leur cœur. Que ta protection forte les protège et les guide chacun au long de cette journée, afin qu’ils puissent vivre dans la protection et aussi la quiétude.
Nous à toi prions aussi pour nos enfants, Seigneur tout-puissant, qu’ils grandissent dans leur foi avec dans l’amour de ton saint nom. Accorde, Ô Dieu, la sagesse et la force nécessaires afin de affronter les défis de la vie, ainsi que guide leurs pas sur le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous te prions pour nos amis ainsi que nos voisins, Seigneur, afin qu’ils connaissent la joie de ton amour ainsi que la paix de ton pardon. Accorde-leur, cher Dieu, des cœurs généreux en vue de partager avec ceux qui dans le besoin, et des largement ouvertes pour accueillir ceux qui seuls et abandonnés.
Prier pour nos ennemis ainsi que ceux qui nous autres ont offensés.
Ô Seigneur, Jésus, nous t’ prions pour nos ennemis ainsi que pour ceux qui nous ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, ta miséricorde et votre pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Seigneur Dieu, à leur montrer de la compassion ainsi que à leur pardonner comme tu nous-mêmes as pardonné. Que votre paix règne dans nos cœurs et que ton amour guide nos actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui sont nous autres entourent.
Appréhender l’ prière :
En conclusion, la invocation nous souviens notre devoir comme progéniture de Dieu : être des témoins de l’ lumière et de son attachement dans une période touchée aux ténèbres. À travers nos paroles et nos actes, nous propageons le message de l’ paix et de la conciliation, offrant l’espoir et la guérison à un environnement abîmé.
Dans la foi chrétienne, le lever du jour porte une valeur distincte, symbolisant le rafraîchissement et l’ reconstruction spirituelle. C’est au lever du jour de chaque matinée que le cœur se tourne vers l’Éternel dans la prière, s’efforçant à être éclairée par la clarté surnaturelle. La pratique des prières matinales est essentiellement enracinée dans la tradition chrétienne, fournissant une période particulier pour se connecter avec l’Éternel et se préparer spirituellement aux épreuves de la journée qui s’annonce.
Au au cœur au sein de ces prières matinales s’ repère régulièrement une dévotion particulière à l’égard de Marie, la mam de Jésus et personnage sainte respectée par un grand nombre fidèles. En tant de intercesseur entre les hommes et Dieu, Marie est priée pour intercéder en notre faveur, nous orientant dans le chemin de la sainteté ainsi que ainsi que la grâce divine. Ses apparition parentale offre consolation et sécurité, cercant nos prière matinales d’une tendresse céleste.
En via les prières du matin, on se trouve appelés à se joindre à Marie dans une démarche pour purification personnelle. Par méditant sur sa vie ainsi que les vertus, on explorons pour imiter son humilité, sa pureté et son obéissance vers la volonté de Dieu. À travers la sainteté exemplaire, Marie devient pour nous un modèle de vie chrétienne, on remémorant l’importance de la prière ainsi que de la contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière de debut de journée, dans notre foi, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Au sein de notre monde tourmenté par les conflits et la division, recourons à la prière pour trouver pour retrouver la paix et l’harmonie. Il est possible faire déposer un message pour la Sainte Vierge sur cette page. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable à Dieu, pour qu’il guide éclairer nos pas sur le chemin de la vérité et de la justice. L’apôtre Paul nous dans ses lettres à maintenir une prière incessante, quelle que soit la situation, pour que notre connexion avec Dieu reste solide et ardente. La prière, quand elle est sincèrement offerte, a le pouvoir pour transformer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
La récitation du matin est ainsi un moment avantagé pour nous consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en présentant nos acclamations, nos remerciements et nos intentions les plus intimes. À travers l’ quiétude de l’aurore, nous sommes invités pour tourner vers la mère divine, qui on guide avec douceur sur le chemin du la croyance et de l’amour divin. En unissant nos voix à cette dernière de Marie, nous augmentons nos prières matinales envers le trône de la grâce, sûrs que notre supplications seront entendues et accueillies par du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière pour le début de journée avec dieu et la Vierge Marie
Ô Tout-Puissant et Miséricordieux Seigneur, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta divine lumière, je viens à Toi avec foi et modestie. Que cette jour qui commence soit consacrée à ton saint nom, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en sacrifice. Que chaque souffle de vie que tu m’as donné soit un souffle d’adoration |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Priez, suppliez, que nos cœurs implorent, priez, que nos esprits s’élèvent.
Comme Marie, la sainte mère qui a porté en son sein l’enfant Jésus, guide-moi dans ce voyage de foi et de dévotion. Que je puisse, en parcourant les pages de l’Évangile, trouver la clarté pour éclairer mes pas et renforcer ma foi. À l’instar de Pierre, donne-moi la puissance et le courage d’affronter les épreuves de ce monde avec une foi inébranlable en ta divine providence.
Au cours de ce période de Carême, où les fidèles et les croyantes se préparent à honorer la résurrection de Jésus-Christ, donne-moi, Seigneur, l’éveil spirituel. Que mon cœur soit purifié de toute impureté, afin qu’il devienne un sanctuaire pour ta divinité. Que mes prières, à l’image de François d’Assise, résonne comme une mélodie de louanges à travers les siècles.
Dieu Tout-Puissant, que mon quotidien soit imprégné de ta grâce, que tous les moments soit une occasion de te rencontrer et de te servir dans mes frères et sœurs. Que mon chemin soit un témoignage vivant de ta miséricorde sans limite envers l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chacune de mes journées dans une douce tranquillité. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Seigneur, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par le Saint-Esprit, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur la terre.
Puissent cette journée devienne une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une opportunité de grandir dans la foi. Seigneur, envahis mon cœur, établis-le comme ton sanctuaire, où ta présence se manifeste constamment. Que chaque battement de mon cœur devienne un chant à ta louange, Seigneur, pour les siècles des siècles. Amen.
Dans l’éveil religieux de tout âme chrétienne, la supplication est essentielle. Celle-ci constitue la connexion profonde entre le fidèle de l’Éternel et sa mère céleste, Marie, laquelle prie pour nous en face de son divin Fils. En utilisant la prière, les croyants pénétrons dans la lumière de la doctrine divine, menés sous l’Esprit Saint, pour trouver la vraie nature et la grâce que Jésus nous dispense.
Contemplation en ce qui concerne la Parole divine :
Nous sommes capables de ruminer sur une portion de la Bible qui nous parle de la tendresse du Seigneur. Par exemple :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
»
L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est point envieux; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il supporte tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout.
L’amour ne périt jamais; mais, les prophéties, elles seront abolies; les langues, elles cesseront; la connaissance, elle sera abolie. »
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avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.
