Dans une démarche visant à favoriser une plus grande communion ecclésiale, le pape François publie un Motu Proprio intitulé « La vera bellezza » (Vraie beauté), restructurant le diocèse de Rome en fusionnant les cinq préfectures centrales avec les zones périphériques environnantes, pour faire de Rome « une seule » grande maison pour tous.
Par Antonella Palerme
Le 1er octobre, le pape François a signé un Motu Proprio qui redéfinit les limites des préfectures au sein du diocèse de Rome pour mieux harmoniser les paroisses et leurs contextes environnants.
Les cinq préfectures centrales existantes seront intégrées aux autres secteurs, réorganisant le diocèse selon les quatre directions cardinales.
Favoriser une plus grande communion ecclésiale
Dans le document, le Pape explique qu’à l’approche du Jubilé de l’Espoir 2025, il est devenu « nécessaire et urgent » de réévaluer le rôle pastoral du diocèse de Rome.
Cette réévaluation, a-t-il noté, est motivée par les changements culturels de notre époque et la nécessité de créer une relation plus dynamique entre le centre-ville et ses périphéries.
Le Pape a souligné que l’intention derrière ce changement, dont la mise en œuvre prendra plusieurs mois, est de promouvoir un « esprit de communion ecclésiale toujours plus grand ».
Centre et périphérie
Le document commence par souligner comment la croissance de l’étalement urbain de Rome a progressivement créé un fossé entre le centre-ville et sa périphérie.
Le centre historique, a observé le Saint-Père, « est devenu de plus en plus isolé, risquant de devenir davantage une destination touristique qu’une expression vivante de toute la sainteté de Rome ».
Pendant ce temps, les périphéries ont souvent été négligées par les autorités locales et sont perçues comme mal desservies.
D’une part, a suggéré le pape François, le centre connaît un exode résidentiel, principalement habité par des navetteurs, des touristes et des commerçants, tandis que son activité pastorale a diminué, tout en conservant certains aspects positifs.
D’un autre côté, a ajouté le Pape, les périphéries ont trouvé un ancrage solide et essentiel dans leurs paroisses, qui servent de pôles communautaires vitaux.
« Ce potentiel est resté trop longtemps en sommeil », écrit le Pape, « et il faut maintenant le repenser et le mettre au service du peuple de Dieu ».
Faire tomber les barrières : construire des ponts plutôt que des murs
Le document poursuit : « Dans cette vision, il n’y a plus un centre isolé et une périphérie fragmentée, mais une vision dynamique qui cherche non pas des murs, mais des ponts.
Le diocèse de Rome sera considéré comme une entité centrale s’étendant vers l’extérieur à travers les quatre directions cardinales. » La suppression des limites du secteur central, précise le Pape, « ne signifie pas le fermer, mais l’ouvrir ».
L’objectif est d’encourager « une plus grande collaboration et une plus grande unité de but au sein du Conseil épiscopal, en particulier dans un quartier aussi clé de la ville ».
L’espoir, a-t-il ajouté, est de surmonter la « tension bipolaire » qui s’est développée au fil du temps entre les perceptions sociales et ecclésiales du centre historique et de la périphérie.
Adapter les rythmes pastoraux aux besoins des fidèles
Le Motu proprio s’inspire des quatre principes de la doctrine sociale de l’Église, énoncés dans Evangelii Gaudiumce que le pape François a réitéré dans divers contextes, notamment lors de ses récentes visites apostoliques au Luxembourg et en Belgique.
« Si les pasteurs ne reconnaissent pas que les changements de notre époque nécessitent également des ajustements dans les rythmes sacramentels et pastoraux, le risque est la stérilité », a prévenu le Pape.
Il a souligné l’importance de considérer les rythmes du Peuple de Dieu au sein des paroisses spécifiques et d’adapter les horaires pour mieux s’adapter à la vie des familles.
Intégrer le secteur central aux autres signifie également veiller à ce que ces zones participent au riche héritage chrétien de Rome.
En pratique, cela, a reconnu le pape, permettra de tenir des réunions, des célébrations et des rassemblements de secteur dans des espaces historiques, mettant ainsi au premier plan les racines profondes de l’identité catholique romaine.
Au-delà des nombres : la profondeur de l’expérience spirituelle
Comme l’a souligné le Pape François, « le temps est plus grand que l’espace », ce qui signifie que la préparation du Jubilé ne doit pas se concentrer uniquement sur le nombre de pèlerins, mais plutôt sur le développement d’un sens plus profond de l’histoire, de la beauté et de l’unité.
Le Pape a insisté sur le fait que « les portes du Jubilé, avant d’être une occasion d’accueillir des pèlerins du monde entier, devraient être une destination de pèlerinage pour les Romains eux-mêmes ».
Il a offert des exemples de pèlerinages urbains, comme la « Couronne de Marie » ou la « Marche des Sept Églises » sur le chemin de Saint Philippe Néri, les visites aux catacombes, au cimetière de Verano en novembre, à la place d’Espagne pour la solennité du L’Immaculée Conception, le Saint Berceau de Santa Maria Maggiore à Noël, les églises de la Station du Carême, les Escaliers Saints et Santa Croce de Gerusalemme pendant la Semaine Sainte, ainsi que les nombreuses icônes mariales à découvrir en mai et octobre.
« Plus nous prenons soin des plus vulnérables, plus nous devenons beaux »
Le pape François a également réfléchi au concept de beauté, affirmant que « la beauté ne sauvera le monde que si l’Église est capable de sauver la beauté » et a mis en garde contre la manipulation idéologique de la beauté au nom d’un faux progrès ou de sa réduction à un bien de consommation. .
Revenant à une métaphore maternelle, le Pape a déclaré que la ville entière de Rome, et pas seulement son centre historique, est une manifestation de la sollicitude maternelle de l’Église.
« La vulnérabilité est une autre expression de la beauté qui requiert notre attention », a-t-il écrit. « Plus nous prenons soin des plus vulnérables, plus nous devenons beaux. »
Le Saint-Père a profité de l’occasion pour remercier les nombreux bénévoles et travailleurs qui, avec un véritable esprit évangélique, ont fait de Rome une ville sensible aux besoins des plus démunis, en particulier dans le centre historique.
Il a salué les différentes organisations et confréries dédiées au service des plus vulnérables, encourageant le diocèse à « reconnaître, élargir et soutenir » leurs efforts.
Les « fiefs » dans l’Église sont un péché contre la communion
Enfin, le Pape a abordé la question des divisions au sein de l’Église, affirmant qu’« aujourd’hui, cela n’a aucun sens de multiplier les aides à des sous-cultures qui, au lieu de renforcer l’unité diocésaine, favorisent souvent les conflits ».
Il a insisté : « Il ne peut y avoir de fiefs dans la division ecclésiale des territoires ».
Réduire les paroisses à des microcosmes isolés ou permettre aux communautés d’agir comme des sous-cultures distinctes est, selon lui, un péché contre la communion ecclésiale. Cela s’applique également aux mouvements ecclésiaux qui dépensent leur énergie à mettre l’accent sur les différences plutôt que de favoriser l’unité diocésaine.
Rome, a-t-il souligné, est « une grande maison où tous – Romains et non-Romains – devraient se sentir « chez eux », accueillis comme des pèlerins ».
L’évêque de Rome a conclu en exhortant à ce que le « dynamisme synodal » de l’Église soit adopté et encouragé au sein du diocèse, en promouvant un esprit d’unité et en rejetant la tendance élitiste et égoïste de « construire des murs de séparation et de conflit ».
Au lieu de cela, a suggéré le pape François, « notre diocèse doit jeter des ponts ouverts » pour renforcer la communion ecclésiale, afin que tous, individuellement et collectivement, appartiennent uniquement au Christ et à son Église.
Le Rôle de la Prière à Marie
L’invocation à Marie représente un élément crucial de la foi chrétienne, solidement enracinée dans les enseignements catholique depuis des siècles. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour trouver réconfort, guidance et intervention dans leur marche envers Dieu. Au fil du temps, cette piété a gagné en force par les écrits bibliques, les coutumes ecclésiastiques, et le modèle des saints et saintes qui ont honoré Marie mère spirituelle bienveillante.
L’application du Rosaire
Le Chapelet occupe une place centrale dans la vie spirituelle de un grand nombre de fidèles. En récitant les mystères joyeux, douloureux, lumineux et glorieux, les fidèles méditent dans les moments liés à Jésus et Marie, renforçant ainsi leur lien spirituel avec le divin. À travers chaque Ave Maria, ils manifestent leur foi en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, encourage les chrétiens à pratiquer régulièrement la méditation des différents mystères du rosaire pour approfondir leur relation avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, transmise de génération en génération, reste un phare spirituel pour les croyants, les guidant dans leur connexion à la céleste Dame.
L’exhortation à la prière
Prions ensemble, en tant que frères et sœurs, frères et sœurs, dans l’unité de notre espérance, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par les conflits et la division, recourons à la prière pour trouver de retrouver la paix et la réconciliation. Les chrétiens ont la possibilité exprimer une sollicitation pour Marie en utilisant le formulaire de cette page. Que nos prières montent vers le ciel, comme un hommage reçu avec faveur par Dieu, afin qu’il puisse éclairer nos chemins vers la voie de la vérité et de la justice. Saint Paul nous dans ses lettres à maintenir une prière incessante, quelle que soit la situation, afin que notre connexion avec Dieu soit constante et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède la capacité pour transformer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
Les directives du Saint-Père
Le Souverain Pontife, à travers ses écrits inspirés, disponibles grâce à Bayard, nous rappelle l’importance de la prière quotidienne. Par le biais de ses homélies et de ses audiences publiques, il nous encourage à cultiver un lien personnel avec le divin, en se fondant sur la réflexion sur les Saintes Écritures et la récitation du rosaire. Son exemple d’humilité et de compassion nous motive à approfondir notre prière et à chercher la présence de Dieu dans tous les domaines de notre vie. Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous souligne que la prière quotidienne est le fondement de notre vie spirituelle et c’est par elle que nous nous unissons à Dieu. La prière, enseignée par les pontifes successifs, est une source d’espoir en période de tempête, une base solide auquel les âmes peuvent s’appuyer.
Les publications attribués à Lelièvre et Hubert
Dans le contexte de la vie de foi, l’église recommande vivement la prière, et durant la prière, les fidèles effectuent le signe de croix et récitent l’Ave Maria. Des penseurs contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la puissance de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs publications, porteurs de riches enseignements spirituels, nous orientent sur le chemin de la foi et nous invitent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre spiritualité. En méditant sur leurs publications, nous trouvons de nouvelles voies de développer notre connexion avec le divin et de grandir dans la sainteté. Saint Jean, dans l’Évangile, nous rappelle que le fait de prier est une puissante voie pour rester en communion avec Dieu et de recevoir de ses grâces. Chaque paragraphe de leurs ouvrages résonne comme une invitation à une prière ardente et à une vie emplie de la présence divine. Dans notre exploration de spiritualité, chaque œuvre lue devient une invitation à s’élever vers le divin, à travers la réflexion et la méditation.
L’acte de prier dans la chapelle
Dans nos lieux de culte modestes ou majestueuses, tournons-nous vers le divin en toute confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos supplications avec une affection infinie. Que chaque flamme vacillante, chaque Ave Maria récité, soit une offrande à notre divin Créateur ainsi qu’à la Vierge Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des occasions de grâce et de renouvellement spirituel, nous fortifiant pour faire face à les épreuves avec courage et foi. La sainte Bernadette Soubirous, qui a reçu les apparitions de la Vierge Marie à Lourdes, nous démontre l’importance de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Vierge Marie. Tout fidèle qui franchit les portes d’une chapelle, chaque page de la Bible lue dans ce lieu sacré, constitue une rencontre avec la divinité, une étape cruciale sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les Écritures saintes, tout croyant est encouragé à méditer la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver réconfort et espoir dans sa grâce rédemptrice.
La prière comme médecine pour l’intérieur
Tel un médecin pour nos âmes, la prière nous réconforte ainsi que nous renforce lorsque nous traversons des moments de douleur et de désespoir. La prière nous rappelle que la présence divine ne nous quitte jamais, même dans les moments les plus sombres de notre existence. En nous tournant vers lui dans la prière, nous trouvons la force intérieure nécessaire pour surmonter les épreuves et pour affronter l’avenir avec espérance et confiance. L’acte de prier est comme une source d’eau vive qui satisfait notre soif spirituelle et, dans notre marche avec Dieu, nous régénère.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, notre âme trouve un soulagement divin, une guérison céleste, qui va au-delà de les limitations humaines. Chaque page de la Bible nous invite à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à accueillir sa grâce transformatrice.
Un regard différent sur l’acte de prier Marie
La prière à Marie constitue une pratique profondément enracinée dans la tradition religieuse catholique chrétienne, proposant un précieux lien spirituel pour les adeptes de tous horizons. Comme mère spirituelle et intercesseur, elle est priée avec dévotion dans les moments de besoin et de gratitude. Le chapelet, avec ses mystères contemplatifs, accompagne les croyants dans leur voyage de foi, les aidant à méditer sur Jésus, son fils, à travers le prisme de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale s’exprime dans les sanctuaires comme le sanctuaire de Lourdes, où les pèlerins affluent en quête de réconfort et de guérison, représentant la profonde connexion entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les écrits éclairants de théologiens tels que Lelièvre et Hubert offrent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son rôle dans la vie spirituelle des croyants. Par le biais d’une lecture approfondie de livres dévotionnels et bibliques, les adeptes approfondissent leur compréhension de la vénération de Marie et nourrissent un lien plus fort avec Marie, notre mère dans la foi. Dans un monde caractérisé par les conflits et les troubles, la dévotion à Marie offre un refuge de calme et de confiance, incitant chaque individu, indépendamment de son rang dans la foi catholique, à s’adresser à la Dame du Ciel avec confiance et dévotion. Prions donc ensemble, avec un cœur sincère et humble, en honorant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos prières et nos désirs les plus profonds. Dans cette démarche de foi, tout adepte est convié à poursuivre la voie des prières et des aspirations du cœur, sous la direction du saint Père et les ressources spirituelles précieuses disponibles sur des plateformes comme Aleteia. De cette manière, avec un cœur humble et une foi sincère, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant de nous intercéder, et la force de continuer dans la prière fervente.
Que la prière soit notre refuge et notre consolation quelle que soit la situation. Que nous nous inclinions vers Marie, notre mère céleste, avec un cœur ouvert et une croyance inébranlable, en ayant conscience qu’elle intercède pour nous devant son fils bien-aimé. Que notre dialogue avec le divin nous mène dans notre quête de sainteté, nous rapprochant toujours plus de Dieu et de son amour éternel.
Bibliographie :
Poèmes (Canora, 1905)/Légende de la nuit des morts.,Article complet.. Suite sur le prochain article.
Monseigneur Henry Verjus/IV.,Cliquer ICI.
Les Oiseaux de passage (Ségalas)/02/14.,A lire ici.
Le Coran (Traduction de Savary)/52.,Le texte de l’article.
Introduction à la vie dévote (Boulenger)/Seconde partie/17.,L’article de presse.
Dictionnaire érotique moderne/Prière.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.