, Les 10 conseils du pape François pour résister aux vices
 afin de se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Les 10 conseils du pape François pour résister aux vices afin de se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Les 10 conseils du pape François pour résister aux vices

Comme ses prédécesseurs, le pape François consacre ses audiences générales du mercredi au Vatican à des cycles thématiques. Il a récemment consacré 20 audiences (décembre 2023 à mai 2024) au thème des vices et des vertus. « La vie spirituelle du chrétien n’est pas paisible, linéaire et sans défis ; au contraire, la vie chrétienne exige une lutte constante », dit le pape jésuite. « Nous sommes tous tentés et nous devons tous apprendre à nous comporter dans ces situations. » Dans cette « lutte spirituelle », connaître et identifier les vices et les vertus dans nos vies est essentiel pour « discerner le bien du mal » afin de choisir l’un et d’éviter l’autre.

Les premiers, appelés aussi péchés capitaux, désignent « le mal qui prend racine en nous (…). C’est une mauvaise herbe difficile à éradiquer. Traditionnellement, l’Église en distingue sept – l’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, la luxure, la gourmandise et la paresse – qui sont à l’origine de tous les autres vices.

L’Église y répond par quatre vertus, qui nécessitent des efforts et une ascèse personnelle pour choisir le bien : la prudence, la justice, la force (ou le courage) et la tempérance (le pape François ajoute la vertu d’humilité à cette liste). Ces vertus sont dites cardinales car elles « constituent la « charnière » d’une bonne vie ». Ils appartiennent à « une sagesse très ancienne, antérieure même au christianisme », que le christianisme a « mise en valeur, enrichie, purifiée et intégrée dans la foi ».

De plus, le chrétien peut compter sur « une assistance particulière du Saint-Esprit » pour développer « trois autres vertus distinctement chrétiennes » : la foi, l’espérance et la charité. Ces vertus sont dites théologiques, « car elles sont reçues et vécues en relation avec Dieu ».

Soyez le gardien de votre cœur

Le pape François appelle à développer une conscience « de ce qui se passe dans notre cœur » car « nous sommes tous pécheurs ». « Un petit examen de conscience, un peu de perspicacité, nous fera du bien », ajoute-t-il en expliquant : « Savoir garder son cœur est une forme de sagesse. »

Si cela vient de Dieu, « il faut l’accueillir car c’est le début du bonheur ». Mais « s’il vient de l’Adversaire », il faut le rejeter, « même si sa graine paraît petite ; une fois qu’elle aura pris racine, nous découvrirons en nous les longues branches du vice et de la misère.

Faites preuve de sagesse prudente

La personne prudente « gouverne ses actions afin de les orienter vers le bien », en s’appuyant sur son intelligence, sa mémoire de la sagesse passée et sa « liberté intérieure ». « La personne prudente est créative : elle raisonne, évalue, essaie de comprendre la complexité de la réalité et ne se laisse pas submerger par les émotions, l’oisiveté, les pressions et les illusions ».

La prudence est « prévoyante » : « Une fois qu’on a décidé du but à atteindre, il faut se procurer tous les moyens pour l’atteindre.

Évitez l’impatience et la précipitation

La patience n’est pas naturelle. « Il est difficile de rester calme, de contrôler ses instincts, de s’abstenir de mauvaises réactions, de désamorcer les querelles et les conflits en famille, au travail ou dans la communauté chrétienne », ou « de supporter les gens gênants », note le pape.

Pour cultiver la patience, il conseille de se tourner vers Dieu, qui est patient : « Dieu sait attendre », Il « n’est pas pressé de déraciner le mal avant l’heure, pour que rien ne soit perdu ».

La patience est « la patience de ce que l’on souffre ». C’est « le premier trait de tout grand amour » qui sait « répondre au mal par le bien », qui ne se « replie pas sur la colère » (« Nous ne sommes pas responsables de l’apparition de la colère, précise François, mais toujours de son développement »). Il ne cède pas au « découragement », mais « persévère » et « réessaye ».

Traiter tout le monde avec équité

La justice est « avant tout une vertu sociale » qui « cherche à réguler équitablement les relations entre les personnes ». Il exige que « chacun dans la société soit traité selon la dignité qui lui est propre », qu’il « rende son dû à Dieu et au prochain ». Il prône le respect de la loi et s’oppose à « la prédominance du fort sur le faible ».

Sur le plan personnel, cela se traduit par des attitudes où prédominent « l’honnêteté, l’intégrité, le respect de la loi et l’engagement pour le bien commun ». Le juste « tient parole » et sait « s’excuser ». Ils « ne pensent pas seulement à leur propre bien-être individuel, mais désirent le bien de la société dans son ensemble ».

Ils évitent « la calomnie, le parjure, la fraude, l’usure, la moquerie et la malhonnêteté ».

Faire preuve de courage

La force d’âme (ou le courage) est ce qui « assure la fermeté dans les difficultés et la constance dans la poursuite du bien ». Dirigé « en nous-mêmes », il nous aide à résister aux « situations [that] nous paralyser » (angoisse, peur, culpabilité). Elle est également dirigée vers l’extérieur pour nous aider à affronter « les épreuves de la vie ».

Au niveau collectif, elle donne la force de « réagir et de crier : non » aux injustices, à la guerre, à la violence, à l’esclavage et à l’oppression des pauvres. « Jésus n’est pas un Dieu diaphane et ascétique », souligne le pape. « Un chrétien sans courage, qui ne met pas ses propres forces au service du bien, qui ne dérange personne, est un chrétien inutile. »

Rechercher la bonne mesure

La tempérance est une « maîtrise de soi » qui permet de résister aux « impulsions » et aux « passions rebelles », elle est la vertu de la « juste mesure ». Cela nous permet aussi de « profiter des biens de la vie » : l’amitié, la confiance, l’émerveillement…

Une personne tempérante sait « peser les mots et bien les doser ». Ils ont le « don de la tempérance ». Ils maintiennent « la bonne mesure, la bonne manière ». Ils « affirment des principes absolus », prônent des « valeurs non négociables » et savent aussi « comprendre les gens » et « faire preuve d’empathie » à leur égard.

C’est l’exact opposé des formes de « voracité » : voracité pour la nourriture et les biens de consommation (le vice de la gourmandise) ; voracité envers les gens en les objectivant pour les posséder (luxure).

Faire preuve d’humilité

Pour François, « à la base de la vie chrétienne ». Elle est la « porte d’accès à toutes les vertus » : elle ramène tout à « sa juste dimension », en acceptant notre « petitesse », nos limites, nos imperfections. Le mot vient du latin humus, qui signifie « terre » ; en d’autres termes, l’humilité garde les pieds sur terre.

La Vierge Marie incarne cette vertu d’humilité et en tire une « force invincible ». Les épreuves qu’elle a rencontrées « n’ont jamais fait vaciller son humilité, qui était en Marie une vertu à toute épreuve ».

L’humilité s’oppose à la « vaine gloire », à la tendance à vouloir « être le centre du monde, libre d’exploiter tout et chacun, l’objet de toutes louanges et de tous les amours » et qui instrumentalise les relations humaines pour asseoir sa « domination ».

L’humilité est l’exact opposé du « péché radical » de l’orgueil, de la vanité, de la prétention, qui est toujours dans le jugement et le mépris des autres.

S’engager envers Dieu

La foi est la première vertu théologale car « elle ne peut être vécue que grâce au don de Dieu ». C’est « l’acte » par lequel « l’être humain s’engage librement envers Dieu ».

Être chrétien, souligne le pape François, « ce n’est pas avant tout accepter une culture, avec les valeurs qui l’accompagnent, mais être chrétien signifie accueillir et chérir un lien, un lien avec Dieu : Dieu et moi, moi-même et le visage aimable ». de Jésus. »

C’est « un don qu’il faut accueillir et demander quotidiennement, afin qu’il se renouvelle en nous ». La foi est « au-delà du simple humain » : elle « déclenche en nous la grâce et ouvre l’esprit au mystère de Dieu ».

Son opposé n’est ni la raison, ni l’intelligence, mais la peur. « Pourquoi es-tu terrifié ? N’as-tu pas encore la foi ? » demande Jésus aux disciples effrayés par la tempête sur le lac (Mc 4,40).

La foi est mise en danger par l’acédie, ce « manque de soins » qui nous fait « éprouver du dégoût pour tout », notamment notre « relation avec Dieu ». Cela conduit à « une profonde apathie spirituelle ». Pour traverser cette « nuit noire », il faut « de la patience, en acceptant la pauvreté de la foi ». Les chrétiens comprennent qu’ils n’ont en eux qu’une « petite mesure » de foi ».

Ne succombez pas au pessimisme

L’espérance, deuxième vertu théologale, est un « don qui vient directement de Dieu », elle n’est pas due à notre « propre mérite ». Elle nous fait « désirer le royaume des cieux et la vie éternelle », elle place notre « confiance » dans « les promesses du Christ » et, quoi qu’il arrive, dans « le secours de la grâce du Saint-Esprit ». L’espérance nous aide à « affronter notre présent », même lorsqu’il est difficile. Elle résonne avec la patience, cette « capacité d’attendre » qui nous permet de « traverser les nuits les plus sombres ».

« Si l’espoir fait défaut, toutes les autres vertus risquent de s’effondrer et de se transformer en cendres », dit François.

Son ennemi est le « pessimisme », le « découragement » et la tristesse, qui est un « découragement de l’âme ». Cette dernière se manifeste par une « dépression », une « affliction constante qui empêche les gens de ressentir la joie de leur propre existence » et les pousse parfois à « s’endormir dans un chagrin sans fin ».

Face à cette tristesse, François rappelle que le Christ « apporte la joie de la résurrection » qui « rachètera tout le bonheur resté inassouvi dans nos vies ».

S’ouvrir à un amour ardent

L’amour, également appelé charité, troisième vertu théologale, est « l’œuvre du Saint-Esprit en nous ». Il nous invite à « aimer Dieu », à devenir « ses amis » et à « aimer notre prochain comme Dieu l’aime », créant en nous le « désir de partager l’amitié avec Dieu » autour de nous. La charité est « un amour impossible à pratiquer si l’on ne vit pas en Dieu ».

C’est un amour qui va à l’encontre de nos attitudes habituelles. « À cause du Christ, cet amour nous pousse là où nous n’irions pas humainement : c’est l’amour pour les pauvres, pour ce qui n’est pas aimable, pour ceux qui ne se soucient pas de nous et sont ingrats », même pour aimer et pardonner à nos ennemis. .

« C’est un amour si ardent qu’il semble presque impossible, et pourtant c’est la seule chose qui restera de nous. » C’est pourquoi saint Paul, dans son célèbre hymne à l’amour, dit : « Ainsi demeurent la foi, l’espérance et l’amour, ces trois-là ; mais le plus grand d’entre eux est l’amour. (1 Cor 13 :13).

La Signification de la Dévotion Mariale

L’invocation à Marie représente un aspect essentiel de la foi chrétienne, solidement enracinée dans les enseignements catholique depuis des temps immémoriaux. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour obtenir réconfort, direction et intercession dans leur relation avec Dieu. À travers les âges, cette piété a gagné en force par les enseignements de la Bible, les traditions de l’Église, ainsi que le modèle des saints qui ont honoré Marie mère spirituelle aimante.

L’accomplissement du Rosaire

Le Chapelet occupe une place centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les différents mystères, les dévots méditent dans les moments liés à Jésus et Marie, renforçant leur lien spirituel avec eux. Chaque Ave Maria récité, ils expriment leur foi en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son ouvrage sur la dévotion authentique à la Vierge Marie, encourage les chrétiens à méditer régulièrement sur les mystères du rosaire afin de renforcer leur lien avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, transmise de génération en génération, reste une source d’illumination spirituelle pour les croyants, les guidant dans leur connexion à la céleste Dame.

L’exhortation à la prière

Joignons nos cœurs dans la prière, frères et sœurs, dans notre foi, en nous tournant vers Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Au sein de notre monde tourmenté par la guerre et la division, optons à la prière comme un moyen de retrouver la paix et la réconciliation. On peut écrire un message pour la mère de dieu en nous faisant appel. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme une offrande agréable à Dieu, afin qu’il puisse éclairer nos pas sur le chemin de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, pour que notre connexion avec Dieu soit solide et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, a la capacité de changer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.

Les directives du Saint-Père

Le pape François, dans ses écrits éclairés, publiés par Bayard, nous rappelle la signification de la prière journalière. À travers ses discours et ses audiences, il nous incite à développer un lien personnel avec le divin, en s’appuyant sur la méditation de la Parole biblique ainsi que la pratique du Rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous encourage à approfondir davantage nos prières et à chercher la présence de Dieu dans tous les aspects de notre quotidien. Le pape Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous rappelle que la prière quotidienne est le fondement de la vie de foi et c’est par elle que nous trouvons notre unité à Dieu. La prière, transmise par les pontifes successifs, est un phare d’espoir dans les tempêtes, un fondement solide auquel nous pouvons compter.

Les ouvrages attribués à Lelièvre et Hubert

Dans le contexte de la vie de foi, l’église préconise la prière, et lors de les moments de prière, les croyants accomplissent le signe de croix tout en récitant l’Ave Maria. Des intellectuels contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la force de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs ouvrages, porteurs de riches enseignements spirituels, nous guident sur le chemin de la foi et nous invitent à trouver dans les trésors de la tradition chrétienne pour nourrir notre vie spirituelle. Par la méditation sur leurs publications, nous explorons de nouvelles manières de développer notre connexion avec le divin et de progresser dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans son évangile, nous rappelle que la prière est un puissant moyen pour rester en communion avec Dieu et de recevoir de ses grâces. Chaque page de leurs écrits ressemble à une invitation à une prière ardente et à une vie imprégnée de la présence divine. Dans notre quête de spiritualité, chaque œuvre lue devient une invitation à aspirer à le divin, par le biais de la réflexion et la méditation.

La pratique de la prière

Dans nos chapelles simples ou grandioses, orientons-nous vers le divin avec confiance et humilité, sachant qu’il écoute nos supplications avec une sollicitude infinie. Que chaque flamme vacillante, chaque Ave Maria récité, constitue une offrande à notre divin Créateur ainsi qu’à la Vierge Marie. Que nos instants de dévotion dans la chapelle soient des occasions de faveur divine et de renouvellement de notre esprit, nous fortifiant pour affronter les défis avec courage et foi. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous montre l’importance de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Vierge Marie. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, constitue une rencontre avec la divinité, une étape cruciale sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les pages des Saintes Écritures, tout croyant est invité à contempler la croix du Christ, à méditer sur son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans sa grâce rédemptrice.

La pratique de la prière comme médecine pour l’esprit

Comme un guérisseur pour nos esprits, la prière nous guérit et nous fortifie dans les moments de douleur et de désespoir. Elle nous fait souvenir que Dieu est toujours avec nous, même lorsque nous traversons les ténèbres les plus profondes de notre existence. En nous penchant vers lui à travers la prière, nous trouvons la force intérieure nécessaire pour traverser les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espoir et confiance. La prière est comme une rivière vivifiante qui satisfait notre soif spirituelle et qui, au cours de notre marche avec Dieu, nous revigore.
À chaque prière murmurée, à chaque intention portée, notre âme trouve un soulagement divin, une guérison céleste, qui va au-delà de les limites de notre condition terrestre. Chaque page de la Bible est une invitation à communier avec Dieu, à lui remettre nos fardeaux, et à accueillir sa grâce transformatrice.

Une vision alternative sur l’acte de prier Marie

La dévotion à Marie est une pratique étroitement enracinée dans la tradition religieuse catholique chrétienne, proposant un précieux lien spirituel pour les croyants à travers le globe. Comme figure maternelle spirituelle et intercesseur dévoué, elle est priée avec ardeur dans les moments de besoin et de gratitude. Le rosaire, avec ses mystères à méditer, accompagne les croyants dans leur voyage de foi, les aidant à contempler Jésus, son fils, à travers le prisme de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale se reflète dans les sanctuaires comme Lourdes, où les visiteurs se rassemblent à la recherche de consolation et de guérison, illustrant la profonde connexion entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les enseignements éclairants d’éminents théologiens comme Lelièvre et Hubert proposent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son impact sur la spiritualité des croyants. Grâce à une lecture attentive de textes de dévotion et des Écritures, les croyants élargissent leur compréhension de la vénération de Marie et nourrissent un lien plus fort avec Marie, notre mère dans la foi. Dans un monde caractérisé par les conflits et les hostilités, l’invocation de Marie constitue un refuge de paix et d’espoir, invitant chaque personne, quelle que soit sa position dans la foi catholique, à se tourner vers la Vierge Marie avec une foi profonde et une dévotion sincère. Unissons donc nos prières, avec un cœur humble et sincère, en reconnaissant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos prières et nos désirs les plus profonds. Dans cette démarche de foi, chaque croyant est invité à suivre la voie des prières et des désirs du cœur, sous la direction du saint Père et les ressources spirituelles précieuses disponibles sur des plateformes comme Aleteia. Ainsi, avec une humble confiance et un cœur ouvert, élevons notre prière quotidienne vers Marie, lui demandant son intercession maternelle, et la grâce de persévérer dans la prière fervente.
Que notre communion avec le divin devienne notre sanctuaire et notre apaisement quelle que soit la situation. Que nous nous orientions envers Marie, notre mère divine, avec un cœur ouvert et une foi inébranlable, en ayant conscience qu’elle intercède pour nous devant son fils bien-aimé. Que la prière soit notre guide dans notre quête de sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour sans limites.

Bibliographie :

Une femme m’apparut/1905/07.,L’article ICI.. Suite sur le prochain article.

Lourdes/Quatrième journée/Chapitre II.,L’article ICI.

Les Oiseaux de passage (Ségalas)/03/06.,A lire ici.. Suite sur le prochain article.

Le Roman de Tristan et Iseut/14.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.

Histoire d’une Marie/p2/02.,Ici.. Suite sur le prochain article.

Chapelets de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de la Sainte Vierge/Texte entier.,Le texte de l’article.. Suite sur le prochain article.

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 afin de se dévouer à la Sainte Vierge Marie.avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.