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L’Islam enseigne que Jésus n’a pas été crucifié. Au lieu de cela, les musulmans croient qu’il a été élevé physiquement au ciel par Dieu. Vous pouvez rencontrer cette objection à la foi chrétienne lorsque vous engagez des discussions avec des apologistes musulmans.

Cet argument trouve ses racines dans le Coran :

Qu’ils ont dit (avec vantardise) : « Nous avons tué Jésus-Christ, fils de Marie, le Messager d’Allah » ; mais ils ne l’ont pas tué ni crucifié, mais c’est ce qui leur a été fait croire, et ceux qui diffèrent sur ce point sont pleins de doutes, sans aucune connaissance (certaine), mais seulement des conjectures à suivre, car ils l’ont sûrement tué. non pas : Non, Allah l’a élevé vers Lui ; et Allah est Puissant et Sage (4 : 157-158).

Les opinions varient, mais en général, vous rencontrerez l’une de ces trois conclusions lorsque vous parlerez avec des musulmans de la crucifixion :

  1. Jésus a survécu à la crucifixion.
  2. Dieu a fait que quelqu’un d’autre ressemble à Jésus.
  3. La Crucifixion n’a tout simplement pas eu lieu.

Comme nous le verrons, il n’existe aucune preuve solide pour étayer ces conclusions.

1. Jésus a survécu à la Crucifixion.

Du point de vue islamique, la mort de Jésus sur la croix aurait signifié le triomphe de ses ennemis, mais comme le dit le verset du Coran, « car, assurément, ils ne l’ont pas tué ». Si la crucifixion a eu lieu, alors Jésus a dû survivre à l’épreuve. Ceci n’est pas étayé par les preuves disponibles. Les quatre Évangiles décrivent les événements de telle manière qu’il ne fait aucun doute que Jésus est mort à la suite de sa crucifixion.

Dans Matthieu 27, Joseph d’Arimathie demande le corps de Jésus afin de fournir un enterrement digne de ce nom, et Ponce Pilate accède à sa demande. Les Romains qui ont géré le transfert auraient su avec certitude que Jésus était mort. Même les Pharisiens le savaient et demandèrent que le tombeau soit gardé afin que les disciples ne puissent pas voler le corps et prétendre faussement qu’il était ressuscité (v. 45-66).

Mark et Luke enregistrent l’événement à peu près de la même manière. Marc révèle cependant un autre détail : dans l’Évangile de Marc, Pilate demande spécifiquement la confirmation que Jésus est mort avant de remettre le corps à Joseph d’Arimathie (15 : 44-45).

L’Évangile de Jean révèle également un détail crucial. Selon lui, des soldats romains venaient briser les jambes des crucifiés. Lorsqu’ils virent que Jésus était déjà mort, ils lui transpercèrent le côté avec une lance. Puis, conformément aux autres Évangiles, son corps fut donné à Joseph pour l’enterrement.

2. Dieu a fait que quelqu’un d’autre ressemble à Jésus.

Ceci est également connu sous le nom de Théorie des substituts à la crucifixion. La plupart des musulmans croient que Jésus a été élevé au ciel par Dieu et qu’une autre personne qui lui ressemblait a été crucifiée à sa place. Les érudits musulmans ont débattu de l’identité du substitut, le candidat le plus populaire étant Judas Iscariote.

Une source populaire citée par certains apologistes musulmans est ce qu’on appelle « l’Évangile de Barnabas ». Ce document prétend avoir été rédigé par le disciple Barnabas à la demande de Jésus lui-même. L’auteur y affirme que Judas a été transformé par Dieu à l’image de Jésus puis crucifié.

Le seul problème pour les apologistes musulmans est que les érudits sont pratiquement unanimes sur le fait que l’Évangile de Barnabas est un faux médiéval. La liste des anachronismes et des erreurs historiques qu’il contient est longue et les preuves antérieures à l’époque médiévale sont pratiquement inexistantes.

3. La Crucifixion n’a tout simplement pas eu lieu.

La troisième objection à la crucifixion, et la plus populaire parmi les apologistes musulmans, est l’argument selon lequel elle n’a jamais eu lieu. Selon eux, les récits évangéliques de l’événement étaient corrompus et chargés d’erreurs et de mensonges.

Mais la preuve de la mort de Jésus sur la croix peut être vérifiée par des sources extérieures au Nouveau Testament. Les premiers Pères de l’Église étaient unanimes sur ce point. Ignace d’Antioche, écrivant au début du deuxième siècle, nous dit :

Il était vraiment de la postérité de David selon la chair, et Fils de Dieu selon la volonté et la puissance de Dieu ; qu’il est vraiment né d’une vierge, qu’il a été baptisé par Jean, afin que toute justice puisse être accomplie par lui ; et c’était vraiment, sous Ponce Pilate et Hérode le tétrarque, cloué [to the cross] pour nous dans sa chair. De ce fruit nous sommes par sa passion divinement bénie, afin qu’il puisse établir un modèle pour tous les âges, par sa résurrectionà tous ses saints et fidèles [followers]que ce soit parmi les Juifs ou parmi les Gentils, dans l’unique corps de son Église (Lettre aux Smyrneens, chapitre 1).

Ignace nous dit que Jésus a certainement été cloué sur la croix. L’expression « par sa résurrection » implique qu’il est effectivement mort.

Un autre exemple du début du IIe siècle nous vient de saint Polycarpe, qui écrivait :

Car quiconque ne confesse pas que Jésus-Christ est venu dans la chair est l’antichrist ; et quiconque ne confesse pas le témoignage de la croix est du diable; et quiconque détourne les oracles du Seigneur selon ses propres convoitises, et dit qu’il n’y a ni résurrection ni jugement, il est le premier-né de Satan. . . . Persévérons donc continuellement dans notre espérance et dans le gage de notre justice, qui est Jésus-Christ, qui a porté nos péchés dans son propre corps sur le bois (Lettre aux Philippiens, chapitres 7, 8).

Il existe de nombreuses autres citations comme celles-ci provenant des premiers écrivains chrétiens. Si l’apologiste musulman n’est pas disposé à accepter ces citations parce qu’elles proviennent de sources chrétiennes, alors considérez ce récit de l’historien juif Josèphe :

Eh bien, à cette époque-là, Jésus était un sage; car il était un auteur d’œuvres merveilleuses, un enseignant d’hommes qui reçoivent la vérité avec plaisir. Il attira à lui beaucoup de Juifs et beaucoup de Gentils. Et lorsque Pilate, à la suggestion des principaux hommes d’entre nous, l’avait condamné à la croix, ceux qui l’aimèrent d’abord ne cessèrent de le faire ; et la race des chrétiens, ainsi nommée d’après lui, n’est pas éteinte même maintenant (J. Klausner, Jésus de Nazareth, p. 55).

Tacite, historien et sénateur romain, confirme également l’historicité de la Crucifixion :

Christus, dont le nom tire son origine, subit le châtiment extrême sous le règne de Tibère de la part d’un de nos procureurs, Ponce Pilate.et une superstition des plus malfaisantes, ainsi réprimée pour le moment, éclata de nouveau non seulement en Judée, la première source du mal, mais même à Rome, où toutes les choses hideuses et honteuses de toutes les parties du monde trouvent leur centre et deviennent populaire (Annales15h44, traduction du latin par AJ Church et WJ Brodribb).

Ces deux récits issus de sources non chrétiennes n’ont rien à gagner à propager un mensonge. Le Coran, en revanche, a tout à gagner à nier la crucifixion.

Les musulmans rejettent la vision trinitaire chrétienne de Dieu et, par conséquent, que Jésus était Dieu incarné. Ils rejettent également l’idée selon laquelle Jésus a expié les péchés de l’humanité lorsqu’il a souffert sur la croix en niant complètement la crucifixion. Mais comme je l’ai démontré ici, les preuves de l’historicité de la Crucifixion sont majoritairement de notre côté.

Le Rôle de la Prière à Marie

L’invocation à Marie représente un aspect essentiel de la spiritualité chrétienne, solidement enracinée dans la doctrine catholiques depuis des temps immémoriaux. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour trouver réconfort, direction et intervention dans leur relation envers Dieu. Au fil du temps, cette piété a été renforcée par les enseignements de la Bible, les coutumes ecclésiastiques, ainsi que les exemples des saints qui ont honoré Marie en tant que aimante.

L’exercice du Chapelet

Cette prière traditionnelle mariale tient une position centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les différents mystères, les fidèles méditent dans les moments de la vie de Jésus et de Marie, renforçant leur lien spirituel avec eux. Chaque Ave Maria récité, ils expriment leur foi en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, invite les fidèles à méditer régulièrement des différents mystères du rosaire afin de renforcer leur relation avec la Mère de Dieu. Cet antique rituel, transmise de génération en génération, reste une source d’illumination spirituelle pour ceux qui ont la foi, les guidant dans leur connexion à la céleste Dame.

L’exhortation à la prière

Unissons nos voix dans la prière, frères et sœurs, dans l’unité de notre foi, en nous tournant vers Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par les conflits et la discorde, recourons à la prière comme un moyen de retrouver la sérénité et l’harmonie. Les catholiques du monde entier peuvent écrire une sollicitation pour Marie en sollicitant les bénévoles. Que nos supplications montent vers le ciel, comme un hommage reçu avec faveur par Dieu, afin qu’il puisse nous guider nos pas sur le chemin de la justice et de la vérité. Saint Paul nous exhorte dans ses épîtres à maintenir une prière incessante, en toutes circonstances, afin que notre communion avec Dieu soit constante et ardente. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède le pouvoir pour changer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.

Les directives du Saint-Père

Le Saint-Père, à travers ses écrits inspirés, publiés par Bayard, nous rappelle la valeur de la prière journalière. À travers ses discours et ses audiences, il nous incite à cultiver un lien personnel avec Dieu, en se fondant sur la contemplation des Écritures et la pratique du Rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous encourage à approfondir davantage notre prière et à rechercher la présence de Dieu dans tous les aspects de notre existence. Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans son écrit sur la foi chrétienne, nous souligne que la pratique de la prière est le fondement de la vie de foi et que c’est par elle que nous sommes unis au divin. La prière, enseignée par les pontifes successifs, est un phare d’espoir dans les tempêtes, une base solide sur lequel nous pouvons compter.

Les ouvrages attribués à Lelièvre et Hubert

Dans le cadre de la spiritualité, l’église recommande vivement la prière, et lors de la prière, les fidèles effectuent le geste du signe de la croix et récitent le Je vous salue Marie. Des intellectuels contemporains, tels que Lelièvre et Hubert, nous incitent aussi à méditer sur la puissance de la prière, à travers leurs écrits inspirants. Leurs publications, abondant en enseignements spirituels, nous guident dans notre parcours de la foi et nous invitent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre vie spirituelle. En réfléchissant sur leurs ouvrages, nous découvrons de nouvelles manières d’approfondir notre relation avec Dieu et de progresser dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans l’Évangile, nous enseigne que le fait de prier est une puissante voie pour rester en communion avec Dieu et de bénéficier de ses grâces. Chaque passage de leurs publications est semblable à une invitation à une prière fervente et à une existence emplie de la présence divine. Dans notre exploration de spiritualité, chaque œuvre lue devient un appel à s’élever vers le divin, à travers la contemplation et la réflexion.

La pratique de la prière

Dans nos chapelles modestes ou majestueuses, orientons-nous vers Dieu avec confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos prières avec une affection infinie. Que chaque bougie allumée, chaque Ave Maria récité, soit une offrande à notre Seigneur et à sa sainte mère, Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des moments de grâce et de renouvellement spirituel, nous renforçant pour affronter les défis avec audace et foi inébranlable. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous démontre la valeur de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Tout fidèle qui franchit les portes d’une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, constitue une rencontre avec le divin, une étape cruciale dans le processus de transformation spirituelle. À travers les pages des Saintes Écritures, tout disciple est invité à contempler la croix du Christ, à méditer sur son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans sa grâce rédemptrice.

L’acte de prier comme remède pour l’esprit

Tel un thérapeute pour notre être intérieur, l’acte de prier nous apaise ainsi que nous renforce dans les moments de douleur et de désespoir. Elle nous fait souvenir que Dieu est toujours avec nous, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous penchant vers lui dans la prière, nous découvrons la force intérieure nécessaire pour surmonter les épreuves et pour affronter l’avenir avec espoir et confiance. La prière est semblable à une fontaine d’eau vive qui satisfait notre soif spirituelle et qui, sur notre chemin de foi, nous revigore.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, nous trouvons un soulagement divin, une guérison spirituelle, qui transcende les limites de la condition humaine. Chaque passage des Écritures est une invitation à échanger avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à accueillir sa grâce transformatrice.

Une vision alternative sur l’acte de prier Marie

La prière à Marie est une pratique étroitement enracinée dans la tradition religieuse catholique chrétienne, offrant un lien spirituel précieux pour les croyants à travers le globe. En tant que mère spirituelle aimante et intercesseur dévoué, Marie est invoquée avec ferveur dans les moments de besoin et de gratitude. Le rosaire, avec ses mystères méditatifs, accompagne les croyants dans leur parcours religieux, les aidant à méditer sur Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale s’exprime dans les lieux saints tel que le sanctuaire de Lourdes, où les fidèles convergent pour rechercher réconfort et guérison, illustrant la profonde connexion entre la foi catholique et la vénération de la Vierge Marie. Les écrits inspirants d’éminents théologiens comme Lelièvre et Hubert proposent une réflexion précieuse sur la valeur de la prière à Marie et son rôle dans la vie spirituelle des croyants. Grâce à une lecture attentive de textes de dévotion et des Écritures, les croyants élargissent leur compréhension de la vénération de Marie et développent un lien plus fort avec Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde marqué par la guerre et les conflits, la dévotion à Marie est un sanctuaire de calme et de confiance, incitant chaque individu, quel que soit son statut dans la foi catholique-chrétienne, à solliciter la Sainte Vierge avec une foi profonde et une dévotion sincère. Unissons donc nos prières, avec un cœur humble et sincère, en honorant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos prières et nos désirs les plus profonds. Dans cette quête spirituelle, chaque croyant est invité à suivre la voie des prières et des désirs du cœur, sous la conduite du Pape et les ressources spirituelles inestimables disponibles sur des plateformes comme Aleteia. De cette manière, avec un cœur humble et une foi sincère, élevons notre prière quotidienne vers Marie, lui demandant son intercession affectueuse, et la force de continuer dans la prière fervente.
Que la prière constitue notre refuge et notre réconfort dans toutes les circonstances. Que nous nous inclinions en direction de Marie, notre mère du ciel, avec une foi inébranlable et un cœur ouvert, convaincus qu’elle plaide en notre faveur devant son fils bien-aimé. Que notre dévotion nous guide dans notre quête de sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour éternel.

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