Le plus grand désir de tout croyant est d’aller au paradis. Ceux d’entre nous qui croient en une vie après la mort croient généralement à deux destinations possibles – l’une plus désirable que l’autre, c’est le moins qu’on puisse dire. Mais pourquoi voulons-nous aller au paradis ? Est-ce juste pour éviter l’alternative ? Voulons-nous aller au ciel simplement pour ne pas subir les tourments de l’enfer ? Qu’y a-t-il de si génial au paradis ?
Après tout, le paradis ne consistera-t-il pas simplement à rester assis sur des nuages, à jouer de la harpe toute la journée et à adopter notre meilleur comportement ? N’est-ce pas un peu. . . ennuyeux?
Des images de nuages et de harpes peuvent parfois être une représentation du ciel, comme dans certaines œuvres d’art, mais elles ne sont pas destinées à être prises au pied de la lettre. Le problème est que nous devons sortir de la mentalité par défaut concernant les termes vie et dans dans ce contexte.
Premièrement, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que la vie après la mort soit la même que la vie avant la mort. Nous ne devons pas essayer de nous imaginer passer du temps dans un endroit particulier – sur un nuage, dans une église, flottant quelque part avec des ailes qui sortent de notre dos. Le dans présente un autre problème : le paradis n’est pas simplement un autre endroit, un autre endroit physique où nous aurons ou non le même confort de créature que celui que nous connaissons sur terre, un endroit où nous serons proches ou loin de nos proches. Avant de pouvoir explorer ce qu’est le paradis, nous devons nous préparer en reconnaissant qu’il est pas comme tout ce que nous connaissons.
Il est assez courant que certaines personnes spéculent sur ce qui se passera après leur mort, y compris des choses comme « Si vous jetez cet héritage après ma mort, je serai vraiment bouleversé » ou « Si vous ne venez pas visiter ma tombe de temps en temps, je’ J’aurai le cœur brisé. En réponse, je me retrouve souvent à dire, avec autant de charité que possible : « Faites-moi confiance, vous ne vous en soucierez pas ». Et c’est la vérité. Le Catéchisme de l’Église catholique définit ainsi le ciel : « Le ciel est la fin ultime et l’accomplissement des désirs humains les plus profonds, l’état de bonheur suprême et définitif. » (1024) Si c’est le paradis, comment pourrions-nous nous soucier d’autre chose ?
Le même argument peut être avancé à propos du fait que le paradis est ennuyeux. Tout sauf ! «Nos cœurs ont été faits pour toi, et ils sont inquiets jusqu’à ce qu’ils trouvent leur repos en toi», a écrit saint Augustin dans son livre. Aveux. Si nous sommes au ciel, nous ne serons distraits par aucune préoccupation terrestre, comme l’ennui.
Mais si nous voulons vraiment comprendre pourquoi le paradis est pas ennuyeux, il faudra regarder de plus près ce que l’Église enseigne sur le ciel. Le Catéchisme nous dit : « Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu et sont parfaitement purifiés vivent pour toujours avec le Christ. Ils sont comme Dieu pour toujours, car ils le voient tel qu’il est, face à face » (1023). Voir Dieu face à face pour toujours – c’est cela vision béatifique dont est constitué le ciel.
Plus loin : « Cette vie parfaite avec la Très Sainte Trinité – cette communion de vie et d’amour avec la Trinité, avec la Vierge Marie, les anges et tous les bienheureux – est appelée « ciel ». Le ciel est la fin ultime et l’accomplissement des désirs humains les plus profonds, l’état de bonheur suprême et définitif » (1024).
Le pape Benoît XII a exploré ce même point dans Benedictus Deus, en 1336 : « Ces âmes ont vu et voient l’essence divine avec une vision intuitive, et même face à face, sans l’intermédiaire d’aucune créature. » C’est incroyable! Souvenez-vous de l’époque où Moïse, personnage singulièrement important dans l’histoire du salut, ne pouvait pas voir le visage de Dieu :
Et il dit : « Je ferai passer devant toi toute ma bonté et je proclamerai devant toi mon nom « Seigneur » ; et je ferai grâce à qui je ferai grâce, et je ferai miséricorde à qui je ferai miséricorde. Mais, dit-il, vous ne pouvez pas voir mon visage ; car l’homme ne me verra pas et ne vivra pas » (Exode 33 : 19-20).
Dieu se révélant ainsi est nécessaire pour une expérience aussi intime. « En raison de sa transcendance, Dieu ne peut être vu tel qu’il est, à moins qu’il n’ouvre lui-même son mystère à la contemplation immédiate de l’homme et ne lui en donne la capacité. » (CCC 1028).
Notre Seigneur, au cours de son ministère terrestre, nous a donné une image évocatrice de la relation de Dieu avec nous au ciel, lors de son discours d’adieu la nuit précédant sa trahison : « Dans la maison de mon Père, il y a plusieurs pièces ; s’il n’en était pas ainsi, vous aurais-je dit que je vais vous préparer une place ? Et quand je serai parti te préparer une place, je reviendrai et je te prendrai chez moi, afin que là où je suis, tu sois aussi. (Jean 14 : 2-3) Les chambres de la maison du Père sont préparées pour nous, et Jésus nous y emmènera pour demeurer avec le Père. Quelle image belle et réconfortante.
Néanmoins, vous pourriez être excusé de penser que beaucoup de choses importantes, voire merveilleuses, sont encore ennuyeuses. Bien sûr, le paradis est merveilleux, mais les voyages en avion l’est aussi – et se précipiter dans les airs à des centaines de kilomètres à l’heure est devenu l’une des expériences les plus banales que beaucoup d’entre nous vivent. Bien sûr, le calcul est important, mais pour la plupart des gens, il est aussi extrêmement ennuyeux.
Même si nous ne savons pas exactement à quoi ressemblera le paradis, nous pouvons en deviner beaucoup. Nous en savons beaucoup sur Dieu, car il s’est révélé à nous. Nous savons qu’il est notre père, par exemple, et qu’il nous aime parfaitement et complètement (plus parfaitement et complètement que nous ne pourrons jamais espérer le comprendre).
Alors, qu’est-ce que ça fait de passer l’éternité face à face avec Dieu ? Essayons une analogie, pour sortir cela du domaine de l’abstrait et le transformer en une expérience vécue plus familière.
Imaginez que vous êtes avec votre ami le plus cher et que vous discutez jusque tard dans la nuit. Au fil des heures, une voix au fond de votre tête vous harcèle : « Il se fait tard. Vous devez rentrer à la maison. Vous avez vos responsabilités, vos obligations, et vous ne pouvez pas rester ici avec votre ami pour le reste de votre vie. Le paradis, c’est un peu cette sublime visite chez ton ami. . . mais sans la voix lancinante.
N’oubliez pas qu’une analogie ne peut pas faire grand-chose, surtout avec quelque chose d’aussi incompréhensible que le paradis. « Ce qu’aucun œil n’a vu, ni aucune oreille entendu, ni le cœur de l’homme n’a conçu, [that is] ce que Dieu a préparé pour ceux qui l’aiment » (1 Cor. 2 : 9). Donc, en fin de compte, nous ne pouvons pas savoir exactement à quoi ressemblera le ciel, si ce n’est savoir qu’il vivra éternellement avec Dieu. Et ce ne sera certainement pas ennuyeux.
La Signification de la Dévotion Mariale
La prière à Marie représente un aspect essentiel de la spiritualité chrétienne, solidement enracinée dans la doctrine catholique depuis des temps immémoriaux. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour obtenir réconfort, guidance et intervention dans leur relation avec Dieu. À travers les âges, cette pratique de dévotion a gagné en force par les écrits bibliques, les traditions de l’Église, ainsi que les exemples des saints qui ont honoré Marie mère spirituelle bienveillante.
La pratique du Ave Maria
Le Chapelet tient une position centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les différents mystères, les dévots méditent dans les événements de la vie de Jésus et de Marie, renforçant leur connexion spirituelle avec eux. Chaque Ave Maria récité, ils manifestent leur confiance en l’intercession de Marie et leur désir de suivre les enseignements du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, invite les fidèles à pratiquer régulièrement la méditation sur les mystères du rosaire afin de renforcer leur lien avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, demeure une source d’illumination spirituelle pour ceux qui ont la foi, les aidant à se connecter avec la céleste Dame.
L’exhortation à la prière
Unissons nos voix dans la prière, frères et sœurs, dans l’unité de notre foi, en Marie, la mère de Jésus. Au sein de notre monde troublé par les conflits et la discorde, recourons à la prière pour trouver pour trouver la paix et l’harmonie. Il est possible exprimer une demande pour la Vierge Marie sur ce lien. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable à Dieu, pour qu’il guide éclairer nos pas vers la voie de la vérité et de la justice. L’apôtre Paul nous dans ses épîtres à maintenir une prière incessante, en toutes circonstances, pour que notre communion avec Dieu reste solide et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, a la capacité de changer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
L’enseignement du Saint-Père
Le Saint-Père, dans ses écrits éclairés, disponibles grâce à Bayard, nous rappelle la signification de la prière quotidienne. À travers ses discours et ses audiences, il nous incite à cultiver un lien personnel avec le divin, en s’appuyant sur la méditation de la Parole biblique ainsi que la récitation du rosaire. Sa manière d’être de compassion et d’humilité nous encourage à approfondir encore nos prières et à rechercher la présence de Dieu dans tous les aspects de notre existence. Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous souligne que la prière quotidienne est le fondement de notre vie spirituelle et que c’est par elle que nous nous unissons à la volonté divine. La pratique de la prière, transmise par les pontifes de génération en génération, est une source d’espoir en période de tempête, un roc solide auquel les âmes peuvent s’appuyer.
Les écrits écrits par Lelièvre et Hubert
Au sein de la pratique religieuse, l’église préconise la prière, et durant les moments de prière, les croyants effectuent le geste du signe de la croix et récitent l’Ave Maria. Des penseurs contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous incitent aussi à réfléchir sur la puissance de la prière, à travers leurs écrits inspirants. Leurs écrits, abondant en enseignements spirituels, nous orientent sur le chemin de la foi et nous encouragent à puiser dans les trésors de la tradition chrétienne pour enrichir notre vie spirituelle. Par la méditation sur leurs publications, nous découvrons de nouvelles manières d’approfondir notre relation avec Dieu et de progresser dans la sainteté. Saint Jean, dans l’Évangile, nous enseigne que le fait de prier est un puissant moyen de demeurer en communion avec Dieu et de bénéficier ses bénédictions. Chaque passage de leurs ouvrages résonne comme une invitation à une prière ardente et à une existence emplie de la présence divine. Dans notre recherche de spiritualité, chaque lecture devient un appel à aspirer à le sacré, à travers la méditation et la contemplation.
La dévotion dans la chapelle
Dans nos chapelles simples ou grandioses, tournons-nous vers le divin en toute confiance et humilité, sachant qu’il écoute nos prières avec une sollicitude infinie. Que chaque flamme vacillante, chaque chapelet récité, constitue une offrande à notre divin Créateur et à sa sainte mère, Marie. Que nos instants de dévotion dans la chapelle soient des moments de grâce et de renouvellement de notre esprit, nous fortifiant pour faire face à les défis avec audace et foi inébranlable. La sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous montre l’importance de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Vierge Marie. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque page de la Bible lue dans ce lieu sacré, constitue une rencontre avec le divin, une étape sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les Écritures saintes, tout croyant est encouragé à méditer sur la croix du Christ, à méditer sur son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans la grâce salvatrice qu’elle offre.
L’acte de prier comme médecine pour l’intérieur
Tel un médecin pour nos âmes, la prière nous réconforte ainsi que nous fortifie dans les moments de douleur et de désespoir. Elle nous fait souvenir que la présence divine ne nous quitte jamais, même dans les moments les plus sombres de notre existence. En nous penchant vers lui dans la prière, nous trouvons la force intérieure dont nous avons besoin pour traverser les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espérance et confiance. La prière est comme une fontaine d’eau vive qui satisfait notre soif spirituelle et qui, sur notre chemin de foi, nous régénère.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, nous trouvons un réconfort céleste, une guérison céleste, qui transcende les limites de la condition humaine. Chaque verset de la Bible est une invitation à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à recevoir sa grâce transformante.
Une vision alternative sur l’acte de prier Marie
La dévotion à Marie est une pratique profondément enracinée dans la tradition catholique chrétienne, fournissant un lien spirituel précieux pour les croyants à travers le globe. Comme figure maternelle spirituelle et intermédiaire, elle est invoquée avec dévotion dans les moments de besoin et de louange. Le chapelet, avec ses mystères contemplatifs, dirige les fidèles dans leur cheminement spirituel, les encourageant à méditer sur Jésus, son fils, à travers le prisme de la Vierge Marie. Cette affection envers Marie s’exprime dans les sites sacrés comme le sanctuaire de Lourdes, où les fidèles convergent à la recherche de consolation et de guérison, représentant la forte connexion entre la foi catholique et l’adoration de Marie. Les écrits éclairants d’éminents théologiens comme Lelièvre et Hubert offrent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son rôle dans la vie spirituelle des croyants. Par le biais d’une lecture approfondie de livres dévotionnels et bibliques, les croyants élargissent leur compréhension de l’adoration de Marie et développent une connexion plus étroite avec la Vierge Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde où prédominent les conflits et les hostilités, l’invocation de Marie constitue un refuge de calme et de confiance, incitant chaque individu, quel que soit son statut dans la foi catholique-chrétienne, à se tourner vers la Sainte Vierge avec confiance et ferveur. Prions donc en commun, avec un cœur sincère et humble, en honorant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos requêtes et nos souhaits les plus profonds. Dans cette démarche vers Dieu, chaque fidèle est appelé à suivre la liste des prières et des intentions du cœur, sous la direction du saint Père et les ressources spirituelles inestimables offertes par des plateformes telles que Aleteia. Ainsi, avec une humble confiance et un cœur ouvert, adressons notre prière quotidienne à Marie, lui demandant son intercession affectueuse, et la grâce de persévérer dans la prière fervente.
Que la prière soit notre refuge et notre consolation dans toutes les circonstances. Que nous nous tournions en direction de Marie, notre mère du ciel, avec un cœur ouvert et une croyance inébranlable, en ayant conscience qu’elle intercède pour nous devant son fils bien-aimé. Que notre dialogue avec le divin nous guide sur le chemin de la sainteté, nous approchant toujours plus de Dieu et de son amour sans limites.
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avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.
