Le premier bébé que j’ai perdu a été jeté sans cérémonie dans les toilettes du cabinet du médecin par une infirmière bien intentionnée. À l’époque, j’étais encore protestant et je me souviens de la sensation bouleversante que mon corps se sacrifiait contre ma volonté. Tout cela semblait si terrestre, si littéralement sanglant, et je ne savais pas comment concilier cela avec une vision du monde matérialiste.
J’ai récemment fait une fausse couche du bébé qui aurait été mon cinquième sur terre. Cette fois, j’ai tout saigné chez moi, j’ai récupéré les tissus démontés et je les ai enterrés dans le jardin sous une statue de saint François. J’étais ouvert à la vie et mon corps est devenu une maison de mort, mais au moins la vie que j’avais vécue n’a pas été jetée dans les toilettes.
je‘Je ne suis pas la seule à penser que les expériences de la féminité semblent parfois s’aligner sur d’anciennes croyances préchrétiennes. Un coup d’œil sur les tendances des médias sociaux tels que WitchTok et #modernwitch révèle que de nombreuses femmes ont une croyance incroyablement active en la Wicca, le culte des « anciens dieux » et une variété d’autres pratiques occultes en plein essor. Avoir un corps intimement lié aux rythmes de la vie donne naturellement envie d’en comprendre le véritable sens. Selon les mots de Karl Stern, tirés de son travail La fuite loin de la femme« le cycle d’ovulation de quatre semaines, les marées rythmiques de fertilité et de stérilité, les neuf mois de gestation qui ne peuvent être ni prolongés ni précipités – tout cela lie profondément les femmes à la vie de la nature, au rythme cardiaque du cosmos. .»
Depuis le début de la révolution sexuelle dans les années 1960, un nombre croissant de femmes ont soif du contrôle promis par les rituels païens ou quasi-païens. Le mouvement s’est rapidement accru au sein de la génération Z depuis les confinements de 2020. Pendant des générations, nous avons essayé de prendre le contrôle en nous transformant en hommes, et maintenant, épuisés, nous nous manifestons comme des déesses de la terre et broyons des herbes à la main pour préparer des thés moulus.
Comme beaucoup de mensonges du diable, les pratiques païennes attirent des adeptes parce qu’elles reflètent les vérités de notre foi historique. Le paganisme est, à bien des égards, une tentative enfantine de découvrir une vision sacramentelle du monde. Les femmes sont naturellement plus attirées par cela que les hommes. Les hommes percent, plantent, attaquent et imposent le changement. Les femmes ouvrent, reçoivent, nourrissent et mettent au monde, presque entièrement hors de leur propre contrôle. Les expériences de la femme font qu’il est pratiquement impossible d’ignorer le spirituel, d’une manière particulière que les hommes ne peuvent s’empêcher d’avoir du mal à comprendre.
En tant que catholiques, nous pouvons nous réjouir de nos églises dorées, mais nous ne devons pas oublier les liens étroits qui unissent notre foi au jardin. Nous pouvons raconter à ces femmes perdues dans le paganisme la femme qui était le pont entre l’humain et le divin et comment elle a donné naissance à Dieu dans une étable. Nous pouvons leur parler de vivre aux rythmes de l’année ecclésiale et d’embrasser les cycles de festins et de jeûnes. Nous pouvons expliquer que la participation à la messe est une re-présentation du seul sacrifice éternel au seul vrai Dieu et comment, dans l’Eucharistie, il déchire son propre corps et nous le donne. Nous pouvons leur dire qu’ils ne sont pas fous de vouloir être païens, car la vérité est en réalité beaucoup plus proche de ces pratiques anciennes que de notre monde postmoderne, qui passe plus de temps en ligne qu’avec les pieds sur terre.
Dans les mois qui ont suivi ma récente fausse couche, j’ai régressé à ma propre version du matérialisme. J’ai pleuré, acheté de nouveaux vêtements, bu trop d’alcool, couru un semi-marathon, pris du Botox et me suis fermement fermée au risque de fertilité. J’ai fait tout mon possible pour vivre de manière autonome dans mon corps et ignorer ma propre féminité. Mais on ne peut pas s’attarder sur cet état, alors me voilà de nouveau, m’étendant à la possibilité de vivre et priant désespérément pour ne pas accueillir une autre mort.
C’est ça être une femme. Marie décret lui a fait porter une épée dans son âme. En tant que filles, nous nous ouvrons à supporter chagrin après chagrin, tout comme nous supportons joie après joie. Le soleil se lève et se couche, la lune fait le tour de la terre et les femmes se donnent encore et encore pour accueillir les générations futures. C’est le plus grand privilège et le plus lourd fardeau.
Le Rôle de l’Intercession de Marie
L’invocation à Marie représente un aspect essentiel de la spiritualité chrétienne, profondément ancrée dans la doctrine catholique depuis des siècles. C’est un roc sur lequel les fidèles s’reposent pour obtenir confort, guidance et intercession dans leur marche avec Dieu. Au fil du temps, cette pratique de dévotion a gagné en force par les écrits bibliques, les coutumes ecclésiastiques, ainsi que le modèle des saints et saintes qui ont témoigné de leur respect à Marie en tant que bienveillante.
L’exercice du Ave Maria
Le rosaire tient une position centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les différents mystères, les dévots se plongent dans les moments de la vie de Jésus et de Marie, renforçant ainsi leur lien spirituel avec le divin. À travers chaque Ave Maria, ils expriment leur foi en l’intercession de Marie et leur désir de suivre les enseignements du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, encourage les chrétiens à méditer régulièrement des différents mystères du rosaire pour approfondir leur relation avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, reste un phare spirituel pour ceux qui ont la foi, les guidant dans leur connexion à la céleste Dame.
L’encouragement à prier
Joignons nos cœurs dans la prière, frères et sœurs, dans notre confiance, en Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde tourmenté par la guerre et la discorde, recourons à la prière comme un moyen de trouver la sérénité et la réconciliation. On peut envoyer une demande pour la Sainte Vierge sur la page de prière pour marie. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme un hommage reçu avec faveur à Dieu, pour qu’il puisse nous guider nos pas vers le chemin de la vérité et de la justice. Saint Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, en toutes circonstances, pour que notre communion à Dieu reste constante et passionnée. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité de transformer les cœurs et de modifier le destin de l’histoire.
Les directives du Souverain Pontife
Le Souverain Pontife, dans ses écrits éclairés, publiés par Bayard, nous souligne l’importance de la prière journalière. À travers ses homélies et ses audiences générales, il nous encourage à développer une relation personnelle avec le divin, en s’appuyant sur la contemplation des Écritures ainsi que la pratique du Rosaire. Son exemple de compassion et d’humilité nous motive à approfondir davantage notre prière et à chercher la présence divine dans chaque aspect de notre vie. Saint Jean-Paul II, dans son encyclique sur la foi chrétienne, nous souligne que la prière est la base de la vie de foi et c’est par elle que nous trouvons notre unité au divin. La pratique de la prière, enseignée par les pontifes successifs, est une source d’espoir en période de tempête, un fondement solide sur lequel nous pouvons nous appuyer.
Les écrits écrits par Lelièvre et Hubert
Au sein de la pratique religieuse, l’église préconise le recours à la prière, et lors de les moments de prière, les croyants accomplissent le signe de croix et récitent l’Ave Maria. Des théologiens modernes, tels que Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la force de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs écrits, riches en enseignements spirituels, nous guident sur le chemin de la foi et nous invitent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre vie spirituelle. En méditant sur leurs ouvrages, nous trouvons de nouvelles manières d’approfondir notre relation avec Dieu et de progresser dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans son évangile, nous enseigne que le fait de prier est une puissante voie de demeurer en communion avec Dieu et de bénéficier ses bénédictions. Chaque paragraphe de leurs écrits est semblable à une invitation à une prière ardente et à une existence imprégnée de la présence divine. Dans notre quête de spiritualité, chaque œuvre lue devient un appel à aspirer à le sacré, par le biais de la méditation et la contemplation.
La pratique de la prière
Au sein de nos chapelles modestes ou majestueuses, orientons-nous vers le divin avec confiance et humilité, sachant qu’il écoute nos prières avec une affection infinie. Que chaque bougie allumée, chaque Ave Maria récité, constitue une offrande à notre divin Créateur ainsi qu’à la Vierge Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des occasions de bénédiction et de renouvellement de notre esprit, nous fortifiant pour affronter les challenges avec courage et foi. Sainte Bernadette Soubirous, qui a reçu les apparitions de la Vierge Marie à Lourdes, nous enseigne l’importance de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque page de la Bible lue dans ce lieu sacré, constitue une rencontre avec le divin, une étape sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les textes sacrés, tout croyant est encouragé à méditer sur la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans sa grâce rédemptrice.
La prière comme remède pour l’intérieur
Tel un médecin pour nos âmes, la prière nous réconforte ainsi que nous renforce lorsque nous traversons des moments de douleur et de désespoir. Elle nous rappelle que Dieu est toujours avec nous, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous penchant vers lui à travers la prière, nous trouvons la force intérieure nécessaire pour surmonter les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espérance et confiance. La prière est comme une source d’eau vive qui étanche notre soif spirituelle et qui, sur notre chemin de foi, nous revigore.
À chaque prière murmurée, à chaque intention portée, notre âme trouve un réconfort céleste, une guérison spirituelle, qui transcende les limitations humaines. Chaque verset de la Bible nous invite à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à recevoir sa grâce transformante.
Une vision alternative sur l’acte de prier Marie
L’invocation de Marie représente une coutume solidement ancrée dans la tradition religieuse catholique chrétienne, offrant un lien spirituel précieux pour les adeptes de tous horizons. Comme mère spirituelle aimante et intercesseur dévoué, elle est invoquée avec ferveur dans les moments de besoin et de reconnaissance. Le chapelet, avec ses mystères méditatifs, guide les catholiques dans leur cheminement spirituel, les aidant à contempler Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale se reflète dans les lieux saints comme Lourdes, où les fidèles convergent en quête de réconfort et de guérison, illustrant le lien profond entre la foi catholique et l’adoration de Marie. Les enseignements éclairants de théologiens tels que Lelièvre et Hubert proposent une réflexion précieuse sur la signification de la prière mariale et son impact sur la spiritualité des croyants. Grâce à une lecture attentive de textes de dévotion et des Écritures, les fidèles élargissent leur compréhension de l’adoration de Marie et développent une relation plus profonde avec Marie, notre mère dans la foi. Dans un monde caractérisé par les conflits et les hostilités, la prière à Marie constitue un refuge de paix et d’espoir, incitant chaque individu, quelle que soit sa position dans la foi catholique, à se tourner vers la Sainte Vierge avec confiance et dévotion. Unissons donc nos prières, avec sincérité et humilité, en saluant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos requêtes et nos souhaits les plus profonds. Dans cette démarche vers Dieu, tout adepte est convié à poursuivre la voie des prières et des aspirations du cœur, sous la conduite du Pape et les précieuses ressources spirituelles disponibles sur des plateformes comme Aleteia. De cette manière, avec une humble confiance et un cœur ouvert, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant son intercession maternelle, et la force de continuer dans la prière fervente.
Que la prière soit notre refuge et notre consolation quelle que soit la situation. Que nous nous inclinions vers Marie, notre mère céleste, avec une foi inébranlable et un cœur ouvert, en ayant conscience qu’elle intercède pour nous devant son fils bien-aimé. Que notre dévotion nous guide sur le chemin de la sainteté, nous approchant toujours plus de Dieu et de son amour infini.
Lecture:
Vierges en fleur/01.,Le post d’actualité.
Liturgies intimes/Prudence.,L’article de presse.
Les Nouvelles drolatiques/Le Calice de Mme de Trigonec.,L’article de presse.. Suite sur le prochain article.
Le Pèlerin de Sainte Anne/Tome I/Le curé de Québec.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
L’Étui de nacre/La Légende des saintes Oliverie et Liberette.,Cliquer ICI.
Chants populaires de la Basse-Bretagne/Madame de Kercadio.,Article complet.
avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.