De nos jours, toute discussion sur les différences entre hommes et femmes et sur leur rôle dans la société semble particulièrement chargée. Alors que le rôle d’épouse et de mère continue d’être adopté et célébré par l’Église, il est souvent minimisé dans une culture de plus en plus sécularisée. En même temps, les catholiques d’aujourd’hui se débattent avec le rôle des femmes sur le marché du travail ainsi qu’avec celui de la femme célibataire par choix ou par circonstance.
Au mois d’août, dans le cadre de ma lecture mensuelle d’un classique spirituel, j’ai lu « Essais sur la femme » d’Edith Stein, également connue sous le nom de sainte Thérèse Bénédicte de la Croix. Ce recueil de ses écrits contient de nombreux éléments marquants et montre à quel point les débats sur la place des femmes dans l’Église et la société semblent avoir peu changé depuis l’époque où elle donnait ces conférences dans les années 1920 et 1930.
Titulaire d’un doctorat en philosophie, ce qui n’était pas une mince affaire pour une femme à l’époque, Stein fut l’élève et l’assistante du célèbre phénoménologue Edmund Husserl. Issue d’un milieu et d’une éducation juifs, elle se convertit au catholicisme en 1922 après avoir lu l’« Autobiographie de sainte Thérèse d’Avila ». Elle devint carmélite déchaussée en 1933 après avoir enseigné pendant un certain temps à l’école des religieuses dominicaines de Spire, en Allemagne.
Avant son entrée au couvent, Stein a écrit ces essais non seulement en raison de son expertise académique en tant que philosophe réputée, mais avec la chaleur et l’empathie d’une femme qui a profondément réfléchi à sa relation avec Dieu et à son prochain.
Stein a défié à la fois les féministes de son époque et celles qui reléguaient la femme au simple rôle d’épouse et de mère.
« Peut-on parler de vocations spécifiquement féminines ? Au début du mouvement féministe, les leaders radicaux ont nié cette thèse, affirmant que toutes les professions étaient adaptées aux femmes », écrit-elle. « Leurs adversaires n’ont pas voulu admettre ce concept, ne reconnaissant qu’une seule vocation féminine, la vocation naturelle de la femme. »
« Seule une personne aveuglée par la passion de la controverse pourrait nier que la femme, dans son âme et son corps, est formée pour un but particulier », a-t-elle réfléchi, écrivant que, selon sa vocation naturelle, « la femme est destinée à être épouse et mère ».
« La femme cherche naturellement à embrasser ce qui est vivant, personnel et entier », écrit-elle. « Chérir, préserver, protéger, nourrir et favoriser la croissance est son désir maternel naturel. La matière sans vie, en fait, ne peut avoir pour elle un intérêt primordial que dans la mesure où elle sert le vivant et le personnel, et non pas habituellement pour elle-même. »
Elle a cependant ajouté que « seule une illusion subjective pourrait nier que les femmes soient capables d’exercer d’autres vocations que celle d’épouse et de mère ». Citant l’expérience de plusieurs époques différentes de l’histoire, elle a noté qu’« en cas de besoin, toute femme normale et saine est capable d’occuper un poste. Et il n’existe aucune profession qui ne puisse être exercée par une femme ».
Dans un large éventail de professions, a-t-elle soutenu, « fondamentalement, la même attitude spirituelle dont l’épouse et la mère ont besoin est également nécessaire ici, sauf qu’elle est étendue à un cercle de travail plus large. »
En citant l’exemple de la Vierge Marie lors des noces de Cana, Stein écrit que les femmes sur le lieu de travail peuvent l’imiter en étant « conscientes des besoins et des besoins d’aide, en intervenant et en régulant autant que possible, de manière discrète. Alors, comme un bon esprit, elle répandra la bénédiction partout. »
Idéalement, écrit-elle, l’âme d’une femme est « façonnée pour être un abri dans lequel d’autres âmes peuvent s’épanouir. La compagnie spirituelle et la maternité ne se limitent pas aux relations physiques entre conjoint et mère, mais s’étendent à toutes les personnes avec lesquelles la femme entre en contact. »
Avec sa compréhension approfondie des nombreuses façons dont les femmes pouvaient faire valoir leur féminité dans leurs situations particulières de la vie, elle considérait la Vierge Marie comme l’idéal.
La féminité, dit-elle, « trouve son image la plus parfaite dans la Vierge très pure, épouse de Dieu et mère de tous les hommes. À côté d’elle se tiennent les vierges consacrées qui portent le titre honorifique de Sponsa Christi et sont appelées à participer à son œuvre rédemptrice. Mais son image est aussi perpétuée par la femme qui se tient à côté d’un homme qui est l’image du Christ et qui contribue à édifier son corps, l’Église, par une maternité physique et spirituelle ».
En évaluant la situation de nombreuses femmes de son époque, Stein écrit que « beaucoup des meilleures femmes sont accablées par le double devoir de la vie familiale et professionnelle » et qu’il y a aussi des femmes qui se sont lancées dans une profession qu’elles aimaient, mais qui n’ont pas trouvé le bonheur qu’elles attendaient d’elle, car elles « n’ont ni cherché ni trouvé les moyens de faire fructifier leur nature féminine dans la vie professionnelle ». Elle relève également la situation des « religieuses qui ne sont pas sûres du sens de leurs vœux ou qui sont incapables de maintenir le sacrifice total exigé par leur vocation après que leur première ardeur de jeunesse a décliné ».
Son remède à ce triste état de fait ? « La vie d’une femme doit être une vie eucharistique », a-t-elle affirmé, pour qu’elle porte des fruits. Elle était convaincue que « toute femme qui vit dans la lumière de l’éternité peut réaliser sa vocation ».
Elle a souligné que « c’est seulement dans une relation quotidienne et confidentielle avec le Seigneur dans le tabernacle que l’on peut s’oublier soi-même, se libérer de tous ses propres désirs et prétentions, et avoir un cœur ouvert à tous les besoins et désirs des autres ».
À la fin de sa vie, Stein fut un exemple de cet abandon total à Dieu et de cette ouverture radicale au don de soi.
En août 1942, malgré les tentatives de son couvent pour la protéger, elle fut déportée à Auschwitz où elle fut rapidement tuée.
Le pape Benoît XVI a dit d’elle que « des témoins qui ont réussi à échapper au terrible massacre ont raconté que, tandis que Thérèse Bénédicte de la Croix, vêtue de l’habit de carmélite, se dirigeait, consciemment, vers la mort, elle se distinguait par sa conduite pleine de paix, son attitude sereine et son comportement calme, attentif aux besoins de tous ».
Lauretta Brown est rédactrice culturelle pour OSV News. Suivez-la sur X (anciennement Twitter) @LaurettaBrown6.
Élever nos propres et les prières pour nos amis au Seigneur matinale.
L’ultime dernière étape de la prière du matin consiste à prier pour nos familles êtres chers, notre famille, nos connaissances et notre communauté. Nous pouvons prier pour leur bien-être, leur santé, leur sûreté, et leur prospérité. Nous pouvons également prier pour nos adversaires et pour ces personnes qui nous ont lésés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur montrer la compassion.
Prier pour la bien-être et la protection de nos êtres chers.
Dieu tout-puissant, nous te confions nos amis, notre familles ainsi que nos amis. Protège, cher Dieu, au-dessus de eux, avec sauvegarde -les de tout péril et de toute affliction. Accorde, Ô Seigneur, une bien-être du corps avec de l’esprit pour eux, et aussi la paix au sein de leur esprit. Que ta main omnipotente les esprits garde avec les individus conduise tout au long de cette journée, pour qu’il puissent jouissent dans la tranquillité et aussi la quiétude.
Nous tous te prions aussi pour notre enfants, Seigneur tout-puissant, afin qu’ils grandissent dans leur foi avec dans l’amour de ton sacré nom. Offre, cher Dieu, la sagesse et le courage nécessaires afin de faire face à les épreuves de la vie, et conduise leurs pas sur le chemin de la vérité et aussi de la justice.
Enfin, nous autres te prions pour nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, afin qu’ils expérimentent la joie de ton amour et la paix de ton pardon. Donne-leur, cher Dieu, des cœurs pleins de générosité pour partager avec ceux qui dans le besoin, ainsi que mains largement ouvertes en vue de accueillir ceux qui seuls et abandonnés.
Prier pour les nôtres ennemis ainsi que ceux que nous-mêmes ont offensés.
Ô Seigneur, Jésus, nous t’ prions pour notre ennemis et pour ceux qui nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, votre miséricorde et votre pardon, ainsi que ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Seigneur Dieu, à leur montrer de la compassion et à leur pardonner comme tu nous as pardonné. Que votre paix règne dans nos cœurs et aussi que votre amour guide notre actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui nous entourent.
Saisir la prière :
Pour terminer, la prière nous reconnaît notre mission en tant que enfant de Dieu : exister des témoins de l’ clarté et de son attachement dans une époque affectée aux obscurités. À travers nos discours et nos actions, nous diffusons l’Évangile de l’ paix et de la réconciliation, amenant l’espoir et la guérison à un milieu endommagé.
À l’intérieur de l’ spiritualité chrétienne, l’ aube porte une importance distincte, illustrant le rafraîchissement et la renaissance spirituelle. C’est à l’aube de chaque matinée que l’âme se oriente vers l’Éternel dans la prière, recherchant à être éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales s’avère essentiellement enracinée dans la tradition chrétienne, offrant un instant particulier pour communier avec Dieu et se disposer intérieurement aux défis de la journée qui vient.
Au l’intérieur de ces prière matinales se repère habituellement une dévotion distincte envers Marie, la maternelle de Jésus et icône sainte vénérée par beaucoup fidèles. En tant de intercesseur entre les hommes et Dieu, Marie est priée afin de médier en notre nom, nous guidant sur le chemin vers la sainteté et ainsi que la grâce divine. Son présence maternelle fournit apaisement ainsi que protection, enveloppant nos oraisons matinales d’une délicatesse céleste.
À via les prière du matin, on est convives à nous rallier à Marie au sein de une initiative de sanctification personnelle. En méditant au sujet de sa vie et les vertus, nous cherchons pour imiter son humilité, la pureté et son obéissance à la volonté du Dieu. Par le biais de sa sainteté parfaite, Marie est pour nous une modèle de vie chrétienne, nous souvenant l’importance de la prière ainsi que du contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière du matin, dans notre espérance, en Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde troublé par les conflits et la discorde, recourons à la prière comme un moyen pour retrouver la sérénité et l’harmonie. Chacun envoyer une demande pour la Vierge Marie ici. Que nos prières montent vers le ciel, comme une offrande agréable à Dieu, pour qu’il guide éclairer nos pas vers la voie de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, en toutes circonstances, pour que notre communion à Dieu soit solide et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, possède la capacité de transformer les cœurs et de modifier le destin de l’histoire.
La récitation du matin est ainsi un moment privilégié pour se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en présentant nos adorations, nos actions de grâce ainsi que nos intentions les plus profondes. À travers la quiétude de l’aurore, nous sommes invités pour tourner à la maman sacrée, laquelle on guide par tendresse sur le chemin de la foi et du sentiment amoureux divin. En faisant l’union nos voix pour celle-ci du Marie, nous augmentons nos prières matinales à le trône du du don divin, assurés que nos supplications seront entendues ainsi que accueillies par le cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le matin avec Dieu et Marie la Vierge
Seigneur tout-puissant et miséricordieux, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à Toi avec confiance et humilité. Que cette jour qui commence soit consacrée à ton saint nom, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en sacrifice. Que chaque respiration qui anime mon être soit un soupir de dévotion |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Suppliez, que nos prières montent, priez, que nos âmes se confient, priez.
À l’instar de Marie, la mère sainte qui a porté en son sein l’enfant Jésus, accompagne-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, par le biais de les pages de l’Évangile, trouver la clarté pour éclairer mes pas et consolider ma foi. Tel Pierre, donne-moi la vigueur et le courage de surmonter les tourments de l’existence avec une confiance absolue en ta providence.
Dans ce temps de Carême, où les fidèles et les chrétiennes se préparent à commémorer la résurrection de ton fils bien-aimé, donne-moi, Seigneur, la grâce du réveil spirituel. Que mon cœur soit purifié de toute impureté, afin qu’il devienne un temple digne de ta présence. Que mes suppliques, inspirée par l’exemple de François d’Assise, retentisse comme un hymne de louange à travers les siècles.
Dieu Tout-Puissant, que mon quotidien soit imprégné de ton amour, que chaque instant soit une occasion de te voir et de te servir dans mes frères et sœurs. Que ma vie soit un témoignage vivant de ta miséricorde sans limite envers l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chacune de mes journées dans une atmosphère de sérénité. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Ô Seigneur, devienne une manifestation du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers les autres. Que toutes mes pensées et mes actions soient conduites par le Saint-Esprit, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur cette terre.
Que cette journée devienne une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une occasion de grandir dans la foi. Seigneur, envahis mon cœur, établis-le comme ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chacun de mes battements de cœur soit un chant à ta gloire, ô Seigneur, pour l’éternité. Amen.
Dans le réveil spiritualiste de toute âme chrétienne, la supplication est essentielle. C’est le lien sacré étroite entre l’enfant divin et sa mère céleste, la Vierge Marie, la sainte prie pour le compte de nous auprès de son sacré Fils. Par le biais de l’acte de prière, les croyants nous introduisons au sein de la brillance de la doctrine divine, dirigés par le Saint-Esprit, pour déceler la réalité et la faveur que Jésus nous accorde.
Réflexion en ce qui concerne la Parole du Seigneur :
On sommes capables de ruminer sur un extrait de la Bible lequel nous parle de la tendresse de Dieu. Par exemple :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. . »
Livres sur le même thème:
Vie et opinions de Tristram Shandy/4/88.,Ici.. Suite sur le prochain article.
Monographie de l’abbaye de Fontenay/Chapitre 5.,L’article de presse.
Les Blasphèmes/La Prière de l’Athée.,Le dossier.
La Rivière-à-Mars/02.,Le post d’actualité.
L’Heure enchantée/Marie-Madeleine.,L’article de presse.
Au bord des terrasses/12.,Article complet.. Suite sur le prochain article.
avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.