Au cours des dernières semaines, trois jeunes mamans que je connais ont appelé leur nouveau bébé Zélie, en hommage à la mère de Sainte Thérèse. Certes, l’un d’eux était un deuxième prénom, mais cette chère nièce, mère de sept enfants, m’a envoyé un texto plein de joie : « J’ai enfin eu ma Zélie ! »
C’est aussi elle qui m’a dit : « Tu m’as donné ce livre, et j’ai tout lu », en parlant de Un appel à un amour plus profond : la correspondance familiale des parents de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésusautrement dit, les lettres des (désormais) saints Louis et Zélie. Peut-être devrais-je dire les lettres de Zélie et de Louis, car, dans un merveilleux exemple de la différence entre hommes et femmes, les lettres de Zélie occupent 346 pages, et celles de Louis seulement 16 !
J’ai possédé ce livre plusieurs fois. Je ne veux pas dire que je le possède depuis longtemps, mais plutôt que c’est l’un de ces livres que je n’arrive pas à lire, même si je sais que je soupçonne qu’il est génial, alors je le donne et d’autres prénomment leurs filles en l’honneur de Zelie.
D’après ma vaste expérience des livres (et des saints), je dirais qu’il y en a trois types : (1) ceux que vous aimez au premier regard ; (2) ceux que le Saint-Esprit préserve pour vous apporter la liberté et la joie spirituelle au bon moment ; et (3) ceux que vous ne lirez jamais avec succès, peu importe le nombre de fois que vous essayez. L’expression « c’est un livre fermé pour moi » me vient à l’esprit.
Mais cela nous ramène à Zélie, car je n’arrive pas à déterminer si elle et le livre de ses lettres sont destinés à moi plus tard, ou ne me sont jamais destinés. Lorsque j’essaie de lire mon exemplaire, et juste avant de le donner à nouveau à quelqu’un qui pourra vraiment utiliser ses trésors, je me sens plus éloignée que jamais de la mère canonisée de ma sainte préférée. Pourquoi ? Qu’est-ce qui me retient ?
Maintenant, j’ai un cancer du sein, comme elle, et comme quelqu’un me l’a dit récemment : « Naturellement, tu te tourneras vers Zélie ! » Eh bien, bizarrement, j’ai l’impression d’avoir autant de points communs avec elle qu’avec la sainte patronne officielle des personnes souffrant de maladies du sein, la vierge martyre Sainte Agathe.
Il est vrai que Zélie était une épouse et une mère catholique, tout comme moi, mais Dieu a répondu à notre désir commun (avoir beaucoup d’enfants à élever au ciel et surtout beaucoup de fils prêtres) de manières très différentes. Zélie a eu neuf enfants, dont seulement cinq ont survécu à la petite enfance, toutes étant des filles. J’ai eu deux fils (résultant de mes deux seules grossesses), et l’un d’eux est fiancé à la plus merveilleuse fille catholique du monde. Je ne me plains pas, et Zélie non plus ; Dieu nous a bénis tous les deux au-delà de nos propres espoirs et rêves.
Pourtant, Zélie, une femme admirable à bien des égards, ne me ressemble pas par ailleurs, en ce qui concerne la progéniture. Nos tempéraments sont différents, et lorsque j’essaie de lire ses lettres, mon cœur ne bondit pas en pensant à cette joie que CS Lewis a si bien exprimée lorsqu’il a écrit : « L’amitié naît au moment où un homme dit à un autre : « Quoi ! Toi aussi ? Je pensais être le seul ! »
Mais au-delà de la taille de la famille, au-delà des types de personnalité, au-delà d’un livre que je n’aime pas malgré tous mes efforts, il y a une réalité plus primitive. Je pense que le problème est simplement que j’en veux à Zelie.
Les saints sont des êtres humains, comme nous, et cela signifie qu’ils font des erreurs. J’ai du mal à pardonner l’erreur de Zélie, même si je ne comprends pas pourquoi je pense être qualifiée pour juger sa décision. Comme mon mari l’a souvent fait remarquer, nous avons déjà du mal à savoir ce que nous sommes censés faire, sans parler de savoir ce que les autres – dont les circonstances nous sont encore plus cachées que les nôtres – devraient faire.
Son rappel est utile jusqu’à un certain point, mais cela me dérange toujours, et voici pourquoi :
Zélie et Louis employaient une domestique nommée Louise, et Louise (que Dieu ait son âme) terrorisait leur fille Léonie. C’est l’une des principales raisons pour lesquelles Léonie a eu une enfance et une jeunesse très douloureuses, et pourquoi elle a échoué à trois reprises dans la vie religieuse avant de finalement trouver le bonheur en tant que religieuse de la Visitation. Non seulement elle est née avec moins de dons naturels que ses sœurs (elle n’était pas jolie, elle n’avait pas de talent, elle était mal dans sa peau dès la naissance), mais elle a été traumatisée pendant des années par cette domestique omniprésente.
Zelie ne le savait pas jusqu’à peu de temps avant sa mort. Lorsqu’elle l’a découvert, elle a pu aider Leonie à commencer à guérir. Mais peu de temps après que Zelie ait découvert la cruauté de la servante et avant que le cancer ne lui prenne la vie sur terre, Louise a supplié qu’on lui permette de rester. Zelie traitait tous ceux qui étaient à son service comme des membres de la famille, et Louise ne voulait naturellement pas quitter sa maîtresse, d’autant plus que Zelie était confrontée à la mort. Pourtant, j’ai vraiment du mal à pardonner à Zelie de l’avoir laissée rester, même si elle était sûre que Louise ne ferait plus de mal à Leonie. Mon cœur se serre ! La simple présence de son persécuteur ne ferait-elle pas de mal à la pauvre fille ?
Et puis l’autre jour, je suis tombé sur ce passage du petit serviteur de Dieu Marcel Van, frère spirituel vietnamien de Thérèse :
Il n’existe personne sur cette terre qui ne commette jamais d’erreur. Si quelqu’un ne commettait jamais d’erreur, il ne serait autre qu’un dieu. Mais s’il est un homme, il ne peut éviter de faire des erreurs.
Marie, notre sainte Mère, s’est elle aussi trompée. Nous l’avons vue, en effet, très inquiète, chercher son bien-aimé Jésus pendant trois jours. Ne savait-elle pas que le jeune Jésus, malgré sa nature humaine, était en même temps vrai Dieu ? Alors, pourquoi se fatiguer à le chercher ? Si elle était tout simplement rentrée à la maison, Jésus aurait pu rentrer lui-même à la maison, puisqu’il était Dieu. Pourquoi vous inquiéter ainsi, chère Mère ?
C’est que tu aimais vraiment ton enfant, et que le voyant disparu depuis trois jours, tu n’as pu t’empêcher de te préoccuper de son sort. Et comme ce n’était pas la première fois qu’une telle chose arrivait, tu as peut-être pensé que ton cher Jésus avait déjà été conduit à la mort !… Alors, tu t’es trompée, chère Mère, car tu n’as pas encore compris…
Il en est de même pour nous, simples humains : l’erreur peut très facilement s’immiscer dans notre vie. Oui, nous pouvons facilement nous tromper nous-mêmes.
C’est pour réconforter les âmes faibles qui s’agitent facilement et se découragent lorsqu’elles font des erreurs.
– Serviteur de Dieu Marcel Van (Autres écrits29 janvier 1952)
Et alors ? Et si Zélie avait fait une erreur ?
Les sacrifices que saint Louis et saint Zélie ont faits pour leurs enfants sont exactement les sacrifices que l’on nous demande de faire aujourd’hui, tout comme les parents devaient les faire à l’époque biblique. Se lever au milieu de la nuit pour s’occuper d’un enfant affamé ou malade, travailler pour le nourrir et l’habiller, l’amuser et l’instruire, lui trouver les meilleurs compagnons, abandonner les activités que nous aimions autrefois si elles ne permettent pas l’implication de la famille, et remettre à plus tard nos propres activités tout en répondant aux innombrables besoins d’un enfant.
Je ne sais pas si Zelie a fait une erreur. Je sais que j’ai fait des erreurs lorsque le bien-être de mes enfants m’obligeait à dire non à quelqu’un qui avait moins de droits sur moi, et souvent j’ai omis de dire ce non crucial. Je ne pense pas que le fait d’être parent soit un grand sacrifice ! Les joies d’être mère surpassent de loin toutes les autres joies que j’ai connues, sauf peut-être celles d’être épouse.
Je tiens donc à dire, pour mémoire, que je pardonne à Zélie. J’espère qu’elle m’aidera à prendre de bonnes décisions en tant qu’épouse, en tant que mère, en tant que malade du cancer et en tant qu’amie. Mais je pense que je vais arrêter de m’inquiéter de ne pas aimer ses lettres. Après tout, elle serait la première à dire que si j’aime ses filles, c’est le plus grand compliment que je puisse lui faire. Sainte Zélie (et Saint Louis), priez pour nous !
Photographie récupérée au Sanctuaire de Lesieux
Élever nos proches prières pour nos amis au Seigneur de bon matin.
Cette finale section de la prière du matin consiste à prier pour nos proches amis, nos famille, nos connaissances et notre communauté. Nous pouvons prier pour leur, leur bonheur, leur tranquillité, et leur abondance. Nous pouvons également prier pour ceux qui nous ont nui et pour ces individus qui nous ont heurtés, et demander à Dieu de nous aider à leur pardonner et à leur témoigner de la compassion.
Demander pour la condition physique et la tranquillité de nos amis.
Ô Seigneur, nous tous te confions nos amis, nos familles et nos compagnons. Garde, cher Dieu, sur eux, ainsi que préserve -les de tout risque et de toute maladie. Donne, Ô Seigneur, la bien-être du corps et de l’esprit à eux, et aussi la paix au sein de leur cœur. Puisses-tu permettre ta bénédiction forte les âmes veille et les personnes conduise chacun au long de cette journée, afin qu’ils jouissent dans la protection ainsi que la quiétude.
Nous tous vers toi prions également pour nos enfants, Dieu, afin qu’ils grandissent dans leur foi et dans l’amour de ton saint nom. Accorde, ô Dieu, la sagesse avec le courage nécessaires pour affronter les obstacles de la vie, ainsi que dirige leurs pas le long de le chemin de la vérité et aussi de la justice.
Enfin, nous te prions en vue de nos amis et nos voisins, Seigneur, pour qu’ils connaissent la joie de ton amour ainsi que la paix de ton pardon. Offre-leur, Ô Dieu, des cœurs bienveillants pour partager avec ceux qui dans le besoin, ainsi que mains ouvertes pour accueillir ceux qui sont seuls et abandonnés.
Prier pour nos ennemis ainsi que ceux qui sont nous-mêmes ont offensés.
Seigneur Dieu, le Christ, nous vous prions pour notre ennemis ainsi que pour ces qui sont nous ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, ta miséricorde et aussi ton pardon, et ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Ô Seigneur, à leur montrer de la compassion et à leur pardonner comme tu nous as pardonné. Que votre paix règne dans nos cœurs et aussi que ton amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous autres entourent.
Comprendre l’ prière :
En conclusion, la oraison nous souviens notre devoir tel que enfant de l’Éternel : être des témoins de sa clarté et de son amour dans une ère affectée aux ténèbres. À travers nos mots et notre œuvres, nous propageons l’Évangile de la tranquillité et de la conciliation, offrant l’espoir et la cicatrisation à un milieu endommagé.
À l’intérieur de l’ foi chrétienne, le matin adopte une importance spéciale, représentant le renouveau et la régénération intérieure. C’est au début de chaque jour que l’âme se dirige vers Dieu dans la prière, cherchant à se trouver éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales s’avère essentiellement enracinée dans la tradition chrétienne, fournissant une période exclusif pour communier avec Dieu et se préparer mentalement aux défis de la journée à venir.
En l’intérieur de ces prière matinales se repère souvent une dévotion spéciale à l’égard de Marie, la mam de Jésus et icône sainte adorée auprès de beaucoup fidèles. En qualité mère intermédiaire parmi les hommes et Dieu, Marie reste priée afin de intervenir en notre faveur, nous guidant sur le sentier vers la sainteté ainsi que de la grâce divine. Ses apparition maternelle donne réconfort ainsi que protection, cercant nos prières matinales d’une tendresse céleste.
À via l’ oraisons du matin, on est convives à nous rallier à Marie dans une démarche de béatification personnelle. En méditant sur sa vie ainsi que ses vertus, nous cherchons à imiter son humilité, la pureté et son obéissance à la volonté de Dieu. Grâce à sa sainteté exemplaire, Marie devient en nous un modèle de vie chrétienne, nous souvenant l’importance de la prière et du contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons-nous dans la prière de debut de journée, dans l’unité de notre espérance, en Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde troublé par la guerre et la division, optons à la prière comme un moyen pour retrouver la paix et l’harmonie. Les chrétiens ont la possibilité écrire une prière pour Marie sur ce lien. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur par Dieu, pour qu’il puisse éclairer nos pas sur le chemin de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, afin que notre connexion à Dieu soit solide et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, possède la capacité pour transformer nos cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
La prière du matin se trouve être un instant privilégié pour nous consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en sacrifiant nos acclamations, nos remerciements et nos intentions les plus profondes. Au sein de l’ quiétude de l’aurore, on se trouve invités pour se tourner à cette mère sacrée, laquelle nous guide par affection sur du chemin du la foi et du sentiment amoureux divin. À travers associant nos voix pour celle-ci de Marie, on augmentons nos prières matinales à du trône de la grâce, confiants que nos supplications seront entendues et accueillies auprès de du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le début de journée avec Dieu et la Sainte Mère
Ô Tout-Puissant et Miséricordieux Seigneur, en ce matin qui s’annonce sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à Toi avec cœur rempli de confiance et d’humilité. Que cette jour qui commence soit consacrée à ta gloire sainte, que chaque pulsation de mon être |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en acte d’amour. Que chaque souffle qui anime mon corps soit un souffle d’adoration |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Priez, suppliez, priez, suppliez, que nos esprits s’élèvent.
Comme Marie, la mère bienheureuse qui a porté en son sein l’enfant Jésus, accompagne-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, par le biais de les pages de l’Évangile, rencontrer la clarté pour éclairer mes pas et consolider ma foi. Comme Pierre, donne-moi la vigueur et le courage de surmonter les tourments de l’existence avec une confiance absolue en ta providence.
Dans ce temps de Carême, où les chrétiens et les chrétiennes se préparent à honorer la résurrection de notre Seigneur bien-aimé, donne-moi, Seigneur, l’éveil spirituel. Que mon âme soit purifié de tout ce qui le souille, afin qu’il devienne un sanctuaire pour ta divinité. Que mes suppliques, suivant l’exemple de François d’Assise, retentisse comme un hymne de louange à travers les siècles.
Ô Seigneur, que ma journée soit imprégné de ton amour, que chacun des instants soit une occasion de te voir et de te servir dans mes prochains. Que ma vie soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chacune de mes journées dans une douce tranquillité. Priez, Église, François, Hozana.
Puissent mon cœur, Ô Seigneur, devienne un reflet du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que chaque pensée, chaque action soit guidée par le Saint-Esprit, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ta justice sur la terre.
Puissent cette journée devienne une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une opportunité de grandir dans la foi. Seigneur, prends possession de mon cœur, fais-en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chacun de mes battements de cœur soit un chant en ton honneur, Seigneur, pour toujours. Amen.
Pendant l’éveil spiritualiste de chaque âme chrétienne, la supplication joue. Celle-ci constitue le lien intime entre l’enfant divin et sa mère céleste, la Sainte Mère, laquelle intercède pour nous auprès de son céleste Fils. Par le biais de la prière, les fidèles nous introduisons au sein de la brillance de la parole de Dieu, dirigés par l’Esprit Saint, dans le but de déceler la vérité et la bénédiction que Jésus nous dispense.
Méditation sur la sainte Parole du Seigneur :
Nous avons la capacité de ruminer sur un extrait religieux dont nous parle de l’amour du Seigneur. Par exemple :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.. »
Ce thème apporte des réponses à vos recherches vous adorerez tout autant ces publications :
Victoire la rouge/5.,L’article ICI.
Les vitraux du Moyen âge et de la Renaissance dans la région lyonnaise/1.02.,Le texte de l’article.
Les anciens couvents de Lyon/35.3. Sainte-Marie-des-Chaînes.,Le post d’actualité.
La Quittance de minuit/01/02/04.,L’article ICI.. Suite sur le prochain article.
Exégèse des Lieux Communs/013.,Le dossier.. Suite sur le prochain article.
Catéchisme illustré des vérités nécessaires/Prières.,Le texte de l’article.
avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.