Note de l’éditeur : L’article suivant utilise l’écriture créative et la spiritualité ignatienne pour décrire les expériences de la Sainte Mère pendant les derniers jours de son Fils sur terre.
J’étais poursuivi par des chacals. J’avais une douleur brûlante au côté. Je savais que je ne pouvais pas aller plus loin ; je savais que les chacals me rattraperaient. Je trébuchai et tombai à genoux, les mains écorchées. Alors que je me préparais à l’attaque, les hurlements des chacals se transformèrent en voix de foule. Ils semblaient d’abord ravis, mais à mesure qu’ils se rapprochaient, c’était un son de haine. Ils voulaient, comme les chacals, du sang.
Je me suis réveillée le cœur battant, trempée de sueur. Lorsque j’ai repris conscience, j’ai su que j’étais sur mon grabat, dans notre maison de Nazareth. J’ai regardé par la fenêtre dans le mur et j’ai vu les premiers rayons du soleil. Je me suis levée avec lassitude, incapable de me débarrasser du souvenir de la peur de mon rêve.
J’ai commencé la journée en priant : « Béni sois-tu, Seigneur notre Dieu, Roi de l’univers, qui nous a sanctifiés par ses commandements. » Aujourd’hui, j’ai ajouté : « Mon Dieu, qu’il me soit fait selon ta volonté. » Je savais que, quoi qu’il arrive, ma confiance repose sur Dieu. J’ai continué ma journée avec un cœur lourd.
Vers le soir, John est arrivé. Je voyais qu’il venait de loin et qu’il était rempli d’une telle émotion, proche de l’hystérie.
« Marie, Marie, mère de Jésus, avez-vous entendu ? Votre Fils a ressuscité un homme d’entre les morts ! Comprenez-vous ? Au milieu d’une foule de gens en deuil, il a ressuscité Lazare qui était mort et enfermé dans un tombeau depuis quatre jours. J’ai vu de mes propres yeux Lazare sortir du tombeau enveloppé d’un linceul ! »
« Où est mon fils maintenant ? » lui ai-je demandé.
« Il est en route pour Jérusalem pour célébrer la Pâque. »
J’ai répondu : « Emmène-moi à Lui. »
Le deuxième jour de notre voyage, alors que nous approchions des portes de Jérusalem, Jean nous dit qu’il fallait entrer par la porte Est. « C’est par là que Jésus vient, c’est donc par là qu’il entrera », nous expliqua-t-il.
En nous rapprochant de la porte, nous avons pu entendre la foule. De loin, cela ressemblait à un rugissement, mais à mesure que nous nous approchions, nous pouvions entendre les « Hosanna » jubilatoires.
Jean dit avec joie : « Ils savent maintenant que le Messie est là. Ils savent que Jésus est le Christ. Pierre a dit que Jésus était le Fils de Dieu, mais nous autres avons finalement compris quand nous étions avec Lui à Béthanie. »
J’ai aperçu Jésus monté sur un ânon blanc. Les gens agitaient des branches de palmier et déposaient leurs manteaux devant le chemin de l’âne.
« Jean, va rejoindre les autres apôtres. Il a besoin de toi maintenant. Je vais chercher ma sœur et rester avec elle. »
Je me rendis au temple et j’entrai dans la salle des femmes. Là, je trouvai ma sœur et Marie de Magdala.
J’ai été invité chez elle après le culte.
Tard dans la soirée, André est venu nous annoncer que Jésus avait été arrêté par les gardes du Sanhédrin.
Marie de Magdala se précipita dehors. Je savais qu’elle se rendrait au palais du grand prêtre Caïphe.
Le lendemain matin, Jean est venu nous trouver et nous a dit : « Pilate a donné l’ordre de mettre Jésus à mort. »
« Emmène-moi là-bas », dis-je à John,
« Oh, Marie, tu ne veux pas voir ce qui lui a été fait. Pilate l’a fait battre et, par moquerie, ils lui ont mis une couronne d’épines sur la tête. Les prêtres ont dit à Pilate que Jésus avait dit qu’il était le roi des Juifs. »
« Je dois être avec Lui. »
Je me suis levée du banc et me suis dirigée vers la porte. Ma sœur m’a accompagnée. « John, reste avec nous. Nous ne voulons pas nous perdre dans la foule. »
Quand nous sommes arrivés sur place, les gens étaient alignés le long du chemin. Certains se moquaient, d’autres gémissaient et pleuraient.
J’ai vu mon Fils porter le poids d’une croix. À cause de sa flagellation et de sa perte de sang, il pouvait à peine rester debout sous le fardeau. Alors que je le regardais, il est tombé et a été presque écrasé par la croix. Je me suis précipitée vers lui, en essayant de l’attraper. Nous nous sommes regardés dans les yeux pendant ce qui m’a semblé une éternité, partageant tout ce qui s’était passé entre nous.
John m’a tiré loin de lui et je suis tombé contre lui, presque vaincu.
« Laisse-moi t’emmener », supplia John.
« Non, je dois être avec Lui », répétai-je une deuxième fois.
J’ai vu les gardes pousser Jésus à se lever, puis tirer un homme de la foule pour l’aider à porter la croix. Ils devaient se rendre compte que Jésus risquait de mourir avant qu’ils puissent le crucifier.
Nous arrivâmes à la colline appelée Golgotha. Les gardes repoussèrent la foule. Un centurion s’avança et dit : « Ces gens sont sa famille, laissez-les rester. »
Je les ai vus traîner Jésus à terre après lui avoir enlevé ses vêtements. Ils ont tendu ses bras et ont pris des clous. Ils ont commencé à les enfoncer dans ses poignets et ses pieds, dans le bois. J’ai entendu mon Fils crier d’agonie. Je me suis retournée et je suis tombée à genoux. Mon estomac se soulevait.
John dit : « C’est assez ! S’il te plaît, laisse-moi t’emmener ! »
Il m’a aidé à me relever et nous nous sommes regardés. John n’a rien dit de plus, il a juste mis son bras autour de moi pour m’aider à supporter mon poids.
Jésus, maintenant sur la croix, tourna la tête vers nous. Il dit à Jean : « Voici ta mère. » Puis il me dit : « Femme, voici ton fils. »
Nous sommes restés là avec Lui pendant des heures, agonisant avec Lui alors qu’Il luttait pour chaque souffle.
Après sa mort, Joseph d’Arimathée et Nicodème le descendirent de la croix. Je me précipitai vers eux et pris le corps de mon Fils dans mes bras. Je me rappelai les paroles de Siméon au temple : « Une épée te transpercera l’âme aussi. » Je savais maintenant la raison de la tristesse que j’allais porter dans mon cœur pour le reste de ma vie.
Je les suivis pour voir où ils le déposèrent. Les autres femmes et moi, sans avoir besoin de parler, avions prévu de revenir après la Pâque pour achever les derniers rites funéraires.
Jean m’a ramené dans la pièce où ils avaient partagé le festin de la Pâque avec Jésus.
J’étais épuisé, incapable de manger. Je ne pouvais prendre qu’un peu d’eau. On m’a fabriqué un grabat et je me suis effondré, complètement épuisé.
Je me suis réveillée sans me rendre compte à ce moment-là que j’avais dormi toute la journée. J’ai senti une présence à mes côtés.
Quelqu’un m’a doucement pris la main. J’ai tourné la tête vers la personne. Il était si éblouissant que je ne pouvais pas distinguer ses traits, mais je reconnaissais sa voix.
« Maman, je te remercie pour ton sacrifice. Je veux te demander si tu es prête à accepter le rôle qui t’attend. Est-ce que tu comprends ce que je veux dire par là ? »
« Oui, répondis-je. Je dois être la mère de tout le monde maintenant. »
Jésus sourit et dit : « Encore un « oui ». Quand vous viendrez à moi et à mon Père au paradis, nous vous couronnerons pour votre humilité et votre obéissance. »
Je me suis réveillée et j’ai su qu’il était parti. À sa place, j’ai vu la lumière vive du soleil levant à travers la fenêtre.
Pierre et Jean, après s’être identifiés à la porte verrouillée, ont fait irruption dans la pièce.
« Il n’est pas dans le tombeau ! » s’écrièrent-ils.
Jacques s’écria : « Qui l’a enlevé ? Il faut le retrouver ! »
Pierre se tourna vers Jacques et lui dit : « Marie de Magdala l’a vu. Il viendra vers nous. »
Phillip s’écria : « Quelle absurdité est-ce là ? Marie doit être folle de chagrin. »
« Non », répondit Pierre, et il s’adressa ensuite à toutes les personnes présentes dans la salle. « Il est ressuscité, comme il nous l’a dit. »
Pierre m’a regardé.
« Oui, il est ressuscité. Comme il l’a dit », ai-je confirmé. « Il est venu vers moi aussi. »
« C’est maintenant notre tour de partager la bonne nouvelle. »
Mon Fils m’a demandé d’être la Mère de tous. Pour tous ceux qui me le demanderont, je serai leur Mère et je leur montrerai le chemin à suivre pour rejoindre mon Fils. Je leur dirai : « Faites tout ce qu’il vous dira. » C’est le rôle qui m’a été confié et je prierai toujours pour vous, demandant à mon Fils de vous aider.
Christophe de Villalpando. (années 1680). Notre-Dame des Douleurs [painting]. Récupéré de Wikimedia Commons.
Élever nos propres et les prières pour notre entourage au Seigneur de bon matin.
Cette dernière section de la prière du matin consiste à prier pour nos êtres chers, nos famille, nos compagnons et notre communauté. Nous pouvons prier pour leur, leur santé, leur sécurité, et leur fortune. Nous pouvons également prier pour nos ennemis et pour ces personnes qui nous ont heurtés, et demander à Dieu de nous aider à leur pardonner et à leur montrer la compassion.
Prier pour la santé et la tranquillité de nos familles.
Ô Seigneur, nous te confions nos amis, nos familles avec nos compagnons. Garde, Ô Dieu, sur eux, avec préserve -les de tout danger et de toute affliction. Accorde, Ô Seigneur, une vigueur du corps ainsi que de l’esprit pour eux, et la paix au sein de leur esprit. Puissante soit la volonté pour que ta protection forte les garde et les personnes conduise chacun au long de cette journée, pour qu’ils jouissent dans la protection et la sérénité.
Nous tous te prions pareillement pour notre enfants, Dieu, afin qu’ils grandissent dans leur foi et dans l’amour de ton saint nom. Accorde, ô Dieu, une sagesse ainsi que la vigueur nécessaires en vue de faire face à les défis de la vie, et aussi conduise leurs pas sur le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous autres te prions à nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, qu’ils expérimentent la joie de ton amour avec la tranquillité de ton pardon. Accorde-leur, Ô Dieu, des cœurs bienveillants en vue de partager avec ceux que dans le besoin, et aussi bras ouvertes en vue de accueillir ceux qui seuls et aussi abandonnés.
Prier pour notre ennemis et ceux qui nous autres ont offensés.
Seigneur, le Christ, nous vous prions pour notre ennemis et pour ces qui nous ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, votre miséricorde et votre pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Seigneur, à leur montrer de la compassion ainsi que à leur pardonner comme tu nous autres as pardonné. Que ta paix règne dans nos cœurs et que ton amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui sont nous entourent.
Comprendre la prière :
Finalement, la prière nous rappelle notre mission tel que enfant de Dieu : se trouver des témoins de l’ lumière et de son amour dans l’ époque affectée aux ténèbres. À travers nos discours et nos œuvres, nous diffusons la bonne nouvelle de l’ tranquillité et de la rapprochement, amenant l’espérance et la réparation à un milieu endommagé.
À l’intérieur de la spiritualité chrétienne, le lever du jour revêt l’ signification distincte, représentant le renouveau et la régénération intérieure. C’est au lever du jour de chaque jour que l’esprit se dirige vers l’Éternel dans l’oraison, cherchant à se trouver éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales se révèle essentiellement enracinée dans la tradition chrétienne, fournissant un instant exclusif pour se connecter avec Dieu et se disposer spirituellement aux défis de la journée à venir.
À au cœur de ces prières matinales se trouve souvent une dévotion particulière à l’égard de Marie, la maternelle de Jésus et figure sainte vénérée par de nombreux fidèles. En tant d’ intermédiaire parmi les hommes et Dieu, Marie reste sollicitée pour intercéder pour nous, nous-mêmes guidant sur le chemin vers la sainteté et de la grâce divine. Son apparition maternelle fournit apaisement et sécurité, entourant nos propres oraisons matinales d’une tendresse céleste.
Au travers les prières du matin, on se trouve invités pour nous joindre à Marie au sein de une approche de béatification personnelle. En méditant sur sa vie et les vertus, nous cherchons pour imiter son humilité, sa pureté et sa obéissance vers l’ volonté de Dieu. À travers sa sainteté modèle, Marie est en nous une modèle pour vie chrétienne, nous souvenant l’importance de la prière et de la contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons nos voix dans la prière de debut de journée, dans l’unité de notre espérance, en nous tournant vers Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Au sein de notre monde tourmenté par les conflits et la discorde, recourons à la prière pour trouver de retrouver la paix et la réconciliation. Tout chrétien peut envoyer une sollicitation pour la Vierge Marie ici. Que nos prières montent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur par Dieu, afin qu’il puisse nous guider nos chemins sur la voie de la justice et de la vérité. Saint Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, en toutes circonstances, pour que notre communion avec Dieu reste solide et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède la capacité pour changer nos cœurs et d’influer le cours de l’histoire.
La prière du matin est ainsi un instant privilégié pour se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en présentant nos adorations, nos remerciements et nos intentions les plus profondes. À travers la quiétude de l’aurore, on se trouve invités à se tourner envers la mère sacrée, qui on guide avec affection au sujet de le chemin de la foi et de l’amour divin. À travers unissant notre voix à celle du Marie, on augmentons nos prières matinales envers le trône du la grâce, assurés que nos supplications seront entendues ainsi que accueillies auprès de du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière pour le matin avec Dieu et la Sainte Mère
Dieu tout-puissant et plein de miséricorde, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à Toi avec confiance et humilité. Que cette nouvelle journée qui se profile soit consacrée à ta gloire sainte, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en acte d’amour. Que chaque souffle de vie que tu m’as donné soit un soupir de dévotion |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Priez, priez, suppliez, suppliez, que nos esprits s’élèvent.
À l’instar de Marie, la mère bienheureuse qui a porté en son sein l’enfant Jésus, conduis-moi dans ce voyage de foi et de dévotion. Que je puisse, par le biais de les pages de l’Évangile, trouver la lumière pour éclairer mes pas et consolider ma foi. À l’instar de Pierre, octroie-moi la vigueur et l’audace de surmonter les épreuves de ce monde avec une confiance inébranlable en ta providence.
Durant ce temps de Carême, où les fidèles et les chrétiennes se préparent à commémorer la résurrection de ton fils bien-aimé, donne-moi, Seigneur, la bénédiction de la renaissance spirituelle. Que mon esprit soit purifié de tout ce qui le souille, afin qu’il devienne un lieu sacré où tu résides. Que mes prières, à l’image de François d’Assise, retentisse comme une mélodie de louanges à travers les siècles.
Seigneur, que mon quotidien soit imprégné de ton amour, que chaque instant soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes prochains. Que ma vie soit un témoignage vivant de ton amour infini pour tous. Puissent les mots de la prière de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chaque instant de ma journée dans une douce tranquillité. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Dieu Tout-Puissant, devienne une manifestation du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers autrui. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par ton Esprit saint, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur cette terre.
Que cette journée soit une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, un moment de grandir dans la foi. Seigneur, possède mon cœur, fais-en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste à chaque instant. Que chaque battement de mon cœur devienne un chant à ta gloire, ô Seigneur, pour toujours. Amen.
Au sein de le réveil religieux de tout âme chrétienne, l’oraison est essentielle. Elle est le lien sacré étroite entre l’enfant divin et sa mère céleste, Marie, la sainte supplie pour le compte de nous auprès de son sacré Fils. À travers l’acte de prière, les croyants nous introduisons au cœur de la lumière de la doctrine divine, guidés par le Saint-Esprit, dans le but de trouver la vérité et la faveur que Jésus nous dispense.
Contemplation sur la divine Parole de Dieu :
On avons la capacité de contempler au sujet de une portion religieux qui nous parle de la tendresse du Seigneur. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.. »
Ouvrages sur le même propos:
Plan d’une bibliothèque universelle/Théologie.,L’article ICI.
Lettre du 15 mars 1676 (Sévigné).,L’article ICI.
Les Amoureuses/La Vierge à la crèche.,Le dossier.
La Légende dorée/Sainte Théodore.,L’article de presse.
Dictionnaire philosophique/Garnier (1878)/Ignace de Loyola.,Ici.
.,Le post d’actualité.. Suite sur le prochain article.
avemariasound.org vous a reproduit ce post qui parle du sujet « Ave Maria à travers le monde ». Le site avemariasound.org a pour but de publier plusieurs publications sur le thème Ave Maria à travers le monde développées sur la toile. La chronique est reproduite du mieux possible. Dans le cas où vous envisagez d’apporter des notes sur le thème « Ave Maria à travers le monde », vous êtes libre de prendre contact avec notre équipe. Il y aura plusieurs développements autour du sujet « Ave Maria à travers le monde » à brève échéance, nous vous invitons à naviguer sur notre site internet périodiquement.
